Coralie Demay, de retour chez FDJ-Suez

Cyclisme. Après deux saisons passées à St-Michel-Mavic-Auber 93, Coralie Demay (30 ans) a décidé de s’engager avec la FDJ–Suez pour les deux années à venir, a-t-on appris ce mercredi dans un communiqué publié par la formation tricolore.. À l’issue de cette saison, la Morbihannaise retrouvera une équipe qu’elle a bien connue entre 2017 et 2019.

Toutes les bonnes choses ont une fin ! À l’issue de cete saison, Coralie Demay a décidé de quitter St-Michel-Mavic-Auber 93. Quatre après son départ, l’Elvinoise de 30 ans rejoint la formation World Tour FDJ-Suez pour les deux années à venir. Une équipe qu’elle a bien connue entre 2017 et 2019.

« Après quatre années passées loin de l’équipe, je suis très heureuse d’y revenir. L’équipe a beaucoup grandi depuis son passage en World Tour. L’envie de passer un nouveau cap et d’aider l’équipe à continuer son ascension m’anime profondément. C’est une consécration pour moi de rejoindre une équipe WorldTour, et en particulier FDJ-Suez », a-t-elle réagi dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux de la formation tricolore.

Avant de revenir à ses, la Bretonne aura fait les belles heures de St-Michel-Mavic-Auber 93. Arrivée en octobre 2021, Demay aura réussi à se distinguer dès sa première saison chez les Madeleines avec une victoire sur la septième étape du Tour cycliste féminin international de l’Ardèche, ainsi qu’une deuxième place sur la Classique Morbihan. Sans oublier un excellent Tour de France femmes avec Zwift, avec une 26e place au général. La Bretonne voulait confirmer en 2023 au sein des Madeleines.

Cette année, Coralie Demay aura réalisé de belles choses avec les Madeleines. La Bretonne aura terminé deuxième sur le Bretagne Ladies Tour Cerratizit et une huitième place au général sur le récent Tour cycliste féminin international de l’Ardèche qui a pris fin lundi dernier. Sans oublier sa 27e place sur le récent Tour de France femmes avec Zwift. Demay pourra également mettre à son actif une belle troisième place sur le contre-la-montre des Championnats de France disputés à Cassel (Nord). La Bretonne aura à coeur de boucler cette saison de la plus belle des manières avec les Madeleines, le 15 octobre prochain sur le Chrono des Herbiers.

Coralie Demay et Camille Fahy finissent bien ce Tour de l’Ardèche

Cyclisme. St-Michel-Mavic-Auber 93 se souviendra longtemps de cette 21e édition du Tour cycliste féminin international de l’Ardèche. Malgré des déboires en cascade sur cette première partie d’épreuve, Coralie Demay (8e) et Camille Fahy (14e), les deux seules rescapées de la formation francilienne, ont réussi à relever la tête pour terminer toutes les deux dans le top 15 au classement général de ctte course à étapes française.

Ce lundi 11 septembre, sur cette dernière étape du Tour cycliste féminin international de l’Ardèche entre Beauchastel et Privas (Ardèche), longue de 69,2 kilomètres, Coralie Demay et Camille Fahy, les deux seules rescapées de St-Michel-Mavic-Auber 93, ont bouclé cette course par étapes sur une belle note. Pas une mince à faire après un début de d’épreuve difficile pour les Madeleines.

Mardi dernier, la formation francilienne avait pourtant bien débuté son Tour de l’Ardèche, avec une quatrième place à la clé pour Margot Pompanon sur cette étape inaugurale. Ce même jour, sans grande surprise, la toute nouvelle stagiaire au sein des Madeleines, Marion Bunel quittait déjà ses coéquipières en raison de douleurs au genou survenus sur le Tour de l’Avenir.

Seulement à deux pour finir le Tour de l’Ardèche

Le lendemain, la malchance allait s’accabler encore un peu plus sur l’équipe St-Michel-Mavic-Auber 93 avec l’abandon de Margot Pompaonon à la suite d’une lourde chute dans les rues de Nîmes, théâtre de cette deuxième étape du TCFIA. Et les ennuis ne sont pas encore finis pour St-Michel-Mavic-Auber 93 sur cette épreuve.

C’est au tour de Dilyxine Miermont de jeter l’éponge. La formation francilienne allait donc devoir se débrouiller seulement à deux sur cette fin de Tour de l’Ardèche. Coralie Demay et Camille Fahy ne se sont pourtant pas laissés abattre.

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Neuvième à deux reprises sur les deux avant-dernières étapes, la Morbihannaise a décroché cette fois une huitième place à Privas, lui permettant de se classer huitième du classement général de cette épreuve remportée par l’Italienne Marta Cavalli (FDJ-Suez).

De son côté, Camille Fahy n’a pas été en reste. Successivement 13e, 23e et 14e des trois dernières étapes, la coureuse de la formation francilienne prend la 14e place du général final et se classe deuxième au classement du maillot blanc. Camille Fahy et Coralie Demay peuvent être fières de leur Tour de l’Ardèche.

Margot Pompanon, déjà au tapis

Cyclisme. Après sa quatrième, la veille place obtenue la veille sur les routes du Tour cycliste féminin international de l’Ardèche, Margot Pompanon a été prise dans une lourde chute dans l’emballage final, ce mercredi à Nîmes. Le verdict est tombé ! La coureuse des Madeleines souffre d’une fracture de la clavicule droite et d’une fracture du cinquième métacarpe à la main gauche. Ce jeudi, il ne reste plus que Dilyxine Miermont, Coralie Demay et Camille Fahy pour briller sur cette épreuve par étapes tricolore.

« La forme n’est pas trop mal et il n’y a pas le top niveau au sprint. Il y a moyen de jouer », avait-elle évoqué auprès de Directvelo après sa quatrième place obtenue, la veille sur l’étape inaugurale du Tour cycliste féminin international de l’Ardèche. Alors qu’elle semblait avoir de bonnes sensations, Margot Pompanon a été contrainte à l’abandon sur cette épreuve par étapes tricolore.

La journée avait été menée sans encombre pour l’équipe St-Michel-Mavic-Auber 93, en vue d’un sprint massif à Nîmes. Malheureusement, Margot Pompanon a été prise dans lourde chute dans l’emballage final, ce mercredi au terme de cette deuxième étape du Tour de l’Ardèche.

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Le verdict est tombé ! La coureuse des Madeleines souffre d’une fracture de la clavicule droite et d’une fracture du cinquième métacarpe à la main gauche. Ce jeudi, Dilyxine Miermont, Coralie Demay et Camille Fahy tenteront de briller sur les routes de l’Ardèche.

Débuts réussis pour Margot Pompanon sur le Tour de l’Ardèche

Cyclisme. Offensives toute au long de cette journée, les filles de St-Michel-Mavic-Auber 93 ont bien bossé, ce mardi sur la première étape du Tour de l’Ardèche entre Bourg-Saint-Andéol et Ruoms (Ardèche). Au terme des 105,7 kilomètres de course, Margot Pompanon prend une belle quatrième place de ce sprint remporté par la Polonaise Daria Pikulik (Human Powered Health Ladies). Un premier bon résultat sur cette épreuve qui pourrait en appeler d’autres…

L’équipe St-Michel-Mavic-Auber 93 n’aurait pas pu espérer mieux pour démarrer cette 21e édition du Tour cycliste féminin international de l’Ardèche ! Sur cette étape inaugurale entre Bourg-Saint-Andéol et Ruoms (Ardèche), les Madeleines avaient été à l’attaque tout au long de cette journée.

Malgré leurs bonnes intentions, la formation francilienne n’a pas réussi à éviter une arrivée massive dans les rues de Ruoms (Ardèche). Au terme des 105,7 kilomètres de course, Margot Pompanon termine quatrième d’un sprint remporté par la Polonaise Daria Pikulik (Human Powered Health Ladies).

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« C’est toujours bien d’entamer la course comme ça, mais si on aurait aimé jouer le podium ou un peu mieux. Mais on peut être satisfaites, on a fait une belle étape collectivement », a-t-elle réagi au micro de DirectVelo après l’arrivée.

La seule ombre au tableau concerne l’abandon de Marion Bunel. Un peu logique et attendu puisqu’elle arrivait du Tour de l’Avenir avec quelques douleurs au genou. Le reste de la formation francilienne sera au départ de cette deuxième étape, ce mercredi, pour espérer décrocher un bon résultat à Nîmes.

À la découverte du padel avec Mélissa Martin

Padel. Marraine de ce tournoi international de padel fauteuil, organisé du 30 août au 1er septembre à la Casa Padel située à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), Mélissa Martin nous livre tous les secrets de ce sport dont elle est devenue accroc depuis six-sept ans. Actuelle numéro huit française, la Francilienne espère faire naître des vocations auprès des jeunes générations.

Nichée au coeur d’une zone d’activité à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), la Casa Padel a accueilli les meilleurs joueurs de padel en fauteuil du mercredi 30 août au vendredi 1er septembre. À cette occasion, Mélissa Martin, qui sera la marraine de cet événement, actuelle numéro 8 tricolore, et classée autour de la 200e place mondiale, va nous faire découvrir le padel.

LA DÉCOUVERTE DU PADEL

Ancienne joueuse de tennis, qui a découvert le padel il y a six-sept ans lorsqu’elle était en vacances dans le Sud de la France, vous assure que l’on peut vite devenir accroc à ce sport. Et qu’il est simple de s’y mettre.

« On a plus de chance de découvrir le padel  dans le milieu du tennis car il y a des terrains de padel au sein des clubs de tennis. Ensuite, Canal+ diffuse les tournois du circuit mondial sur ses antennes. Et enfin, de nombreux clubs et activités voient le jour pour sur le territoire français. Sans oublier certaines célébrités qui pratiquent ce sport et en parlent sur leurs réseaux. Tour ceci permet au Padel de toucher un plus large public », résume Mélissa Martin.

LES QUALITÉS POUR JOUER AU PADEL

Après avoir essayé ce sport, quelles sont alors les qualités premières pour pratiquer cette activité ? « Il est difficile aujourd’hui de vous donner le portrait-robot du joueur-type car il existe différents styles de jeu. Certaines joueuses peuvent mesurer 1,60m et d’autres 1,80m. Cela peut jouer sur leur niveau de jeu. C’est ce qui fait la beauté de notre sport », précise-t-elle.

Certes, on peut avoir toutes les qualités du monde, mais pour Mélissa Martin une seule reste essentielle. « Le padel est un sport qui se joue uniquement en doubles. Il est important d’avoir un état d’esprit irréprochable. Si vous êtes individualiste, vous n’arriverez pas à performer au plus haut niveau. C’est un sport où il faut sans cesse communiquer sur le terrain », avance-t-elle.  

Car le padel permet également de développer certaines qualités dans son jeu.

« Avant de pratiquer ce sport, je jouais au tennis et je voulais faire le point en deux ou trois coups de raquette. Avec le padel, j’ai appris à être patiente. Cela m’a aidée à développer mon jeu. Soit tu es patiente et ce sport est fait pour toi et soit tu ne l’es pas et ce sport t’apprends à l’être. Dans tous les cas, tu es gagnante », prévient-elle.

DONNER ENVIE AUX JEUNES FILLES

Il ne reste plus qu’à convaincre les jeunes de s’y mettre. Et il y a de quoi leur donner envie.« Tout d’abord, c’est un sport assez fun. Ensuite, on s’entend bien sur et en dehors du terrain. C’est assez convivial car derrière, on peut aller prendre un verre ensemble. Cette ambiance pourrait donner envie aux jeunes filles de venir essayer le padel », se réjouit-elle.

Et pourquoi pas commencer dès le plus jeune âge. « Aujourd’hui, de nombreux clubs s’associent à des écoles pour proposer des initiations auprès des scolaires. De ce fait, onOn peut mettre plusieurs enfants sur un terrain, et d’autres pourraient jouer contre un mur. Finalement, ce n’est pas si difficile que cela à mettre en place pour sensibiliser les jeunes générations au padel », analyse-t-elle. Désormais grâce à Mélissa Martin, le padel n’aura plus aucun secret pour vous.