Cyclisme. Ce lundi 1er mai, St-Michel-Mavic-Auber 93 a réussi ses débuts sur la Vuelta Femennina. Sur ce contre-la-montre par équipes, long de 14,5 kilomètres autour de Torrevieja (Province d’Alicante en Espagne), les Madeleines signent une belle 12e place sur cette première étape du Tour d’Espagne féminin. La victoire est revenue à la Jumbo-Vissma.
Ce lundi 1er mai en milieu de journée, St-Michel-Mavic-Auber 93 lançait sa Vuelta Féménina ! Et cela a plutôt bien débuté pour les Madeleines ! Sur ce contre-la-montre par équipes, long due 14,5 kilomètres autour de Torrevieja (Province d’Alicante en Espagne), la formation francilienne évoluant en Continental Pro a réalisé un super chrono.
Avec une moyenne de 45,7km/h, Coralie Demay est ses copines ont bouclé cet exercice en 19 minutes et deux secondes. Le temps e quelques minutes, elles étaient en tête du classement provisoire de cette première étape du Tour d’Espagne féminin. Finalement, onze équipes du Xorld Tour auront réussi à terminer devant elles. Les Madeleines décrochent une très belle 12e place à moins d’une minute des lauréates du jour : la formation Jumbo-Visma.
Ce mardi sur cette deuxième étape entre Orihuela et Pilar de la Horadada, longue de 105.8 kilomètres, la victoire devrait se jouer au sprint. Malgré cette montée du Puerto de Rebate, (7,6 km à 1,2 %), les de St-Michel-Mavic-Auber 93 feront tout pour offrir le succès à leur sprinteuse maison Roxane Fournier à Pilar de la Horadada.
Ce samedi, le FC Fleury 91 s’est largement imposé à Reims (3-1), pour le compte de la 19e journée de D1 Arkema. Grâce à ce dixième succès, obtenu en championnat, les partenaires e Léa Le Garrec ont récupéré la troisième place au classement général au détriment du Paris FC grâce à une meilleure différence de buts. À trois jours du terme, les Floriacumoises espèrent remporter leurs trois derniers matches et ainsi rêver à une possible qualification en Ligue des champions.
Il y a encore quelques semaines, le FC Fleury 91 ne pensait peut-être plus à la lutte pour le podium. Avec cinq points de retard à six journées du terme de la saison en D1 Arkema, le club essonnien est revenu à hauteur du Paris FC et même de les devancer grâce à une meilleure différence de buts. Un revirement de situation rendu possible en raison des différents faux pas réalisés par les joueuses du PFC.
Pendant ce temps, les partenaires de Léa Le Garrec n’ont plus perdu le moindre Mach depuis le 10 mars dernier (défaite 2-1 face à l’Olympique Lyonnais). Les protégées de Fabrice Abriel restent sur un nul et deux victoires, dont la dernière en date ce samedi contre le Stade de Reims (3-1).
⏹️ | FIN DU MATCH
Belle victoire ! 🤩#SDRFCF91 se termine sur un score de 1️⃣ – 3️⃣
— FC Fleury 91 Féminines (@FCF91_feminines) April 15, 2023
Grâce à ce dixième succès en championnat, les Floriacumoises peuvent rêver à une qualification la saison prochaine pour la Ligue des champions. Avant d’y penser, les joueuses du FC Fleury 91 doivent terminer le travail à trois journées du terme en D1 Arkema. Leur sprint final débutera dès le 6 mai avec la réception de Montpellier. Derrière, elles se déplaceront à Bordeaux, le 21 mai, avant la réception de Guingamp, le 27 mai, pour espérer conserver cette troisième place au classement général.
Sous ses nouvelles couleurs de St-Michel-Mavic-Auber 93, Marion Borras aura tenté le tout pour tout pour remporter cette troisième édition du Paris-Roubaix Femmes avec Zwift. Malheureusement, la coursière de la formation francilienne doit se contenter de cette cinquième place. Devant, la victoire est revenue à la Canadienne Alison Jackson (EF Education-TIBCO-SVB), ce samedi au terme des 145, 4 kilomètres courus entre Denain et le vélodrome de Roubaix (Nord).
Il ne lui aura manqué que quelques mètres pour aller chercher l’une des plus belles victoires de sa carrière sur la Reine des classiques. Ce samedi, sur la troisième édition de Paris-Roubaix Femmes avec Zwift, courue des 145, 4 kilomètres courus entre Denain et le vélodrome de Roubaix (Nord), Marion Borras a tout tenté mais doit se contenter d’une magnifique cinquième place.
« Je savais que tout le monde était dans le dur physiquement. À la fin, on n’était plus assez nombreuses pour rouler. Cependant, il fallait continuer à le faire sinon le groupe des favorites ne rentrent sur nous. J’aurais sans doute dû patienter un peu avant de lancer mon sprint mais j’ai voulu jouer le tout pour le tout sur le vélodrome de Roubaix. Malheureusement, cela ne l’a pas fait pour le podium », explique-t-elle au micro de France Télévisions.
Marion Borras prend la bans la bonne échappée
Certes, il n’y a pas la victoire au bout, mais Marion Borras n’a aucun regrets à avoir sur cette course. Partie dans l’échappée, qui au final sera la bonne, l’Iséroise ne s’attendait pas à vivre une telle journée dans l’Enfer du Nord. Et cette belle aventure aurait pu s’arrêter après avoir crevé dans le secteur de Mons-en-Pévèle.
« Honnêtement, à ce moment-là j’ai cru que c’était fini. Mais je n’ai rien voulu lâcher en me disant que de toute façon, je n’avais rien à perdre. Au pire, je ne rentrais jamais et je retournais dans le peloton. Finalement, j’ai réussi à reprendre beaucoup de temps dans les secteurs pavés. À chaque fois, je revenais au cul des voitures, qui me gênaient. Purée, c’était frustrant… J’avais envie de les pousser (sourire). Puis, j’ai enfin revu les filles devant et ça m’a aidée à garder le cap. Une fois que je suis revenue, j’ai eu besoin de souffler alors je n’ai plus trop coopéré », raconte-t-elle sur le site internet de DirectVélo.
Heureusement pour elle, le groupe des favorites n’arrivera jamais à faire la jonction sur cette échappée. Malheureusement, Marion Borras aura sans doute payé dans le final tous ses efforts consentis pour rentrer sur la tête de course après sa crevaison. Dans les derniers mètres, Alison Jackson s’est imposée au sprint au terme des 145, 4 kilomètres de course devant l’Italienne Katia Ragusa (Liv Racing TeqFind) et la Belge Marthe Truyen (Fenix-Deceuninck). La Canadienne succède à la Transalpine Elisa Longo Borghini (Trek-Segafredo) au palmarès de cette épreuve. De son côté, Marion prend une belle cinquième place et n’oubliera pas de si tôt cette journée sur les pavés du Nord.
Après un parcours sans-faute en championnat, un grain de sable est venu enrayer la bonne dynamique de la Stella Saint-Maur. Après leur première défaite de la saison face à Achenheim-Truchtersheim (25-28), les Franciliennes ont enchaîné avec un deuxième revers de rang contre Clermont (32-33), ce samedi 11 mars à domicile. Conséquence au classement général, les Franciliennes conservent leur avance mais voient le club du Bas-Rhin, actuellement deuxième à quatre points, revenir à vitesse grand v sur leurs traces.
La Stella Saint-Maur semblait intouchable cette saison ! Invaincues après quatorze journées de championnat, les Étoiles avaient concédé leur première défaite de la saison face à Achenheim-Truchtersheim (25-28), le 25 février dernier. Les Franciliennes ont enchaîné un deuxième revers de rang contre Clermont (32-33), ce samedi 11 mars à domicile.
Entre 2016 et 2020, le taux de volume horaire pour les retransmissions de sport féminin à la télévision était compris entre 16 et 20%. En 2021, elle atteint seulement 4,8%. Alors que chez les compétitions masculines représentent plus de 74%, a-t-on appris ce jeudi 26 janvier au siège de L’Arcom est l’Autorité publique française de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM), pour le lancement de l’opération « Sport Féminin Toujours » (30 janvier au 5 février). Pour Aurélie Bresson, la présidente de la Fondation Alice Milliat, l’optimisme peut être de rigueur malgré une situation catastrophique. Aurélie a conscience du chemin qu’il reste à parcourir mais voit également de nombreuses femmes prendre la parole, oser et s’engager pour mettre en avant le sport féminin. Et ce qui est encourageant, c’est de voir les médias radios et TV jouent de plus en plus le jeu. Peut-être que dans dix ans, on aura atteint la parité en terme de médiatisation.
Aurélie, vous venez d’être réélue à la tête de la Fondation Alice Milliat, qu’est-ce que cela représente pour vous ?
Pour moi, c’est la continuité de mes actions. En deux ans de mandats à la tête de la Fondation Alice Milliat, on a constaté une accélération de tous les enjeux liés au développement de la fondation. Évidemment, le fait de devenir présidente m’a permis de m’affirmer mais surtout de faire grandir la cause. Pour le coup, cela va être une vraie continuité d’actions jusqu’aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, et peut-être après…
Quels vont être vos dossiers prioritaires dans les semaines à venir ?
Le prochain événement sera « Les Sportives en Lumière » qui aura lieu à Nice avec le soutien du Musée national du sport. Cette année, le Groupe L’Équipe s’associe à nous pour mettre en avant toutes les productions audiovisuelles autour du sport féminin. On continue de lancer notre challenge connecté depuis sept ans. On essaye d’obtenir plus de collaboration avec les médias et les institutions. Par exemple, on travaille avec le comité d’organisation de Paris 2024 sur la visibilité des équipements sportifs. Aujourd’hui, 90% des infrastructures sportives ne portent pas de noms genrés. Cela passe par plus d’équipements avec le nom d’une sportive car tous les week-ends, que ce soit dans un gymnase ou dans une piscine, c’est ce nom que l’on va retenir le plus souvent. Car mon credo reste donc de rendre visible les invisibles.
Parmi ces dossiers, on retrouve les États généraux du sport féminin, ou des événements de réseaux comme celui organisés à Nantes. Peut-on dire que la place des femmes dans le sport a progressé depuis une décennie ?
En dix ans, on ne peut pas dire qu’il n’y a eu aucun progrès. On a constaté une libération de la parole ou l’émergence de sujets autour de la maternité. Sans oublier le retour des compétitions mixtes et plus d’attentes en terme d’information autour de certaines thématiques du sport féminin. La recherche évolue mais on a toujours besoin de se réunir. Si on fait le point tous les dix ans, cela veut dire que les choses n’avancent pas. Pour le coup, c’était intéressant d’avoir deux événements qui se complètent dans l’écosystème du sport féminin. À Bourges, on avait un travail académique alors qu’à Nantes, on était davantage orienté sur l’aspect sponsoring et business autour de la pratique sportive féminine. On a besoin de ce genre d’événement pour dire ce qui n’a pas fonctionné ou ce qui devrait fonctionné afin de redonner de l’énergie pour ceux, qui ne sont pas si nombreux que cela, à se battre pour cette cause. Notre objectif est de fédérer au maximum autour du sport féminin afin d’aller le plus vite et le plus loin possible pour plus d’équité.
L’essentiel de l’information sportive féminine en France
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