Handball. Durant vingt-cinq minutes, la Stella Saint-Maur a joué les yeux dans les yeux avec le Brest Bretagne handball ! Finalement, la logique a été respectée. Ce samedi, les Étoiles ont concédé leur cinquième défaite de la saison face aux Brestoises (27-34) pour le compte de la huitième journée de Ligue Butagaz Energie (LBE). Rendez-vous ce mercredi, avec la réception de Plan-de-Cuques, pour enfin démarrer 2025 sous de meilleurs auspices…
« Si Brest nous ouvre une petite porte, on fera tout pour s’y engouffrer », avait alors déclaré le technicien francilien, Félix Garcia, dans une interview publiée sur les réseaux sociaux de la Stella Saint-Maur. Le temps d’une mi-temps, on y a cru ! « On ne va pas se mentir, on avait comme objectif de jouer les yeux fdans les yeux avec Brest. Je pense que cette année, on a une belle équipe. Certes, on n’a pas gagné de nombreux matches mais on a accroché des clubs du haut de tableau. On s’est dit alors pourquoi pas le faire face aux Brestoises », nous confiait l’ailière gauche de la stella Saint-Maur, Elise Delorme.
Finalement, la logique a été respectée. Les Étoiles ont concèdé leur cinquième défaite de la saison face au BBH (27-34). « On a fait une très bonne première période et notre gardienne Marie Lachat a réalisé de nombreuses parades . On a globalement bien défendu et en attaque, on n’a pas été ridicules face à la meilleure défense du championnat. On a inscrit plus de 25 buts et on a encaissé moins de 35 buts, c’est plutôt positif des deux côtés, je trouve pour ce début d’année », a-t-elle réagi après cette rencontre.
Elise Delorme : « Si on arrive à réaliser une telle performance face à Brest, on doit pouvoir le réitérer contre d’autres équipes »,
Les partenaires de Mélina Peillon n’ont pas à rougir de leur prestation du soir. Même les Brestoises ont été un brin surprises par le niveau de jeu affiché des joueuses de la Stella saint-Maur. « On savait que ce ne serait pas si simple que cela. On a étudié leurs précédents matches. On a vu qu’elles perdaient de peu leurs rencontres ou qu’elles ont réussi à accrocher certaines équipe du championnat. On s’attendait à une grosse opposition car la Stella est une formation qui monte en puissance au f fil des années », a précisé la pivot du Brest Bretagne handball, Pauletta Fopp. Les partenaires de coralie Lassource auront pris la mesure de leur adversaire en fin de première période (14-10, 30e).
Au retour des vestiaires, les Brestoises vont compter jusqu’à onze buts d’avance. Un écart irrémédiable pour les Étoiles. Malgré une belle fin de partie, les joueuses du Val-de-Marne n’avaient sans doute pas beaucup d’espoir sur l’issue de cette rencontre.
« On s’y attendait un peu même si on a essayé de faire quelque chose. Ce soir, Brest était trop fort. Mais ce que l’on va retenir de cette partie : c’est notre état d’esprit. Bien évidemment, on a coché le match de mercredi. Si on arrive à réaliser une telle performance face à Brest, on doit pouvoir le réitérer contre d’autres équipes », a-t-elle indiqué. Rendez-vous ce mercredi pour voir si Elise Delorme et les Étoiles vont enfin lancer leur saison en 2025.
Handball. L’heure de la reprise a sonné pour la Stella Saint-Maur ! Ce samedi 4 janvier, les Étoiles accueillent le Brest Bretagne hadballl, leader du championnat, pour le compte de la huitième journée de Ligue Butagaz Energie (LBE). À cette occasion, les Franciliennes espèrent réaliser une prestation majuscule à domicile contre l’une des meilleures équipes d’Europe.
Avec une seule victoire en 2024, les partenaires de Pauline Plotton espèrent redémarrer 2025 avec de bonnes résolutions. Et pourquoi pas décrocher des succès précieux face à des concurrents directs pour le maintien en Ligue butagaz Energie (LBE). Pour y parvenir, les Franciliennes auront profité de cette longue pause pour se remettre au travail.
« Durant cette trêve hivernale, certaines de nos joueuses était absente car elles disputaient la Coupe d’Afrique des nations et d’autres revenaient de blessure. Malgré cela, on a fait une bonne préparation et on a mis des choses en place pour appréhender au mieux cette deuxième partie de saison », explique l’entraîneur de la Stella Saint-Maur, Félix Garcia, sur les réseaux sociaux de la formation francilienne.
Une semaine capitale pour la Stella
La reprise va sans doute piquer car les Étoiles auront la lourde tâche d’accueillir le leader du championnat, invaincu depuis le début de la saison, pour le compte de cette huitième journée de Ligue Butagaz Energie (LBE). Pas une mince à faire pour le onzième du classement.
« On va jour contre Brest qui est l’une des meilleures équipes d’Europe. Elle a réalisé un bon début de saison sur la scène nationale ainsi qu’en Ligue des champions. On ne va pas penser à cela. Nous, on va essayer de mettre tous les bons ingrédients pour faire le meilleur match possible à la maison. Et si Brest nous ouvre une petite porte, on fera tout pour s’y engouffrer », précise le technicien francilien.
Cependant, la porte devrait vite se refermer pour les Étoiles. Les Bretonnes ne viendront pas dans le Val-de-Marne pour leur faire un tel cadeau. Pour les Franciliennes, le match le plus important reste celui de mercredi face à Plan-de-Cuques. Sans oublier le huitième de finale de Coupe de France qui aura lieu le 11 janvier contre Saint-Amand. Ce sera donc une semaine capitale pour la Stella…
Entretien. Trois semaines après la fin de la quatrième édition de la Women’s Cup organisée à la Halle Georges Carpentier (Paris 13e), la co-directrice du tournoi, Sophia Azzi, semble satisfaite. Malgré une petite pointe de déception sur l’affluence globale durant ces quatre jours de compétition, le rugby-fauteuil se conjugue de plus en plus. Fort de ce succès, le Comité paralympique sportif et français (CPSF) reste attentif à cet essor afin de lancer une compétition officielle cette fois-ci. Peut-être que World Rugby a devancé l’instance tricolore en mettant sur pied une Coupe du monde de rugby-fauteuil en marge du Mondial féminin à XV qui aura lieu en Angleterre en 2025. Ce serait une belle reconnaissance pour ce sport paralympique…
Sophia, quels enseignements retirez-vous faites-vous de cette quatrième édition de la Women’s Cup ?
Par rapport aux éditions précédentes, elle est plus que réussie. D’une part, on est passé de 12 à 60 joueuses présentes sur cette compétition. D’autre part, on a eu cinq équipes nationales, dont la première sélection française. Sans oublier une semi-nationale avec la Team Euro-Ireland.
Vous attendiez-vous à voir autant d’équipes sur cette édition parisienne ?
C’était un peu un rêve d’avoir autant d’équipes présentes sur cette édition 2024 à Paris. Au tout début, je me souviens qu’il n’y avait que deux équipes lorsque l’on a lancé cette compétition en 2014. Au fil des années, on a vu un véritable engouement pour cette épreuve. Pour rappel, il n’existait aucun tournoi de ce genre pour les femmes. Fort de ce succès, la Fédération internationale de rugby a même décidé de lancer un groupe de travail pour organiser une compétition officielle en marge de la Coupe du monde féminine qui aura lieu en 2025 en Angleterre.
Pouvez-vous nous faire un retour sur la fréquentation de ce tournoi ?
Sur la fréquentation du tournoi, je suis un peu déçue. On espérait surfer sur la vague des Jeux Paralympiques et l’enthousiasme qu’elle a pu susciter dans le public. Le contexte n’était pas trop favorable pour mobiliser du monde dans cette salle parisienne. Il a fallu composer avec le changement de gouvernement et la réouverture de Notre-Dame. Cependant, le public a répondu présent pour soutenir l’équipe de France. Le vendredi, on a réussi à faire venir quasiment 2 OOO enfants ont pu assister aux différents matches de cette journée.
« Le fait de proposer un tournoi comme celui-ci aux femmes va leur permettre d’avoir un vrai rôle sur le terrain »
Pour la première fois, la France a mis sur pied une sélection nationale pour cette Women’s Cup. Cela donne-t-il plus de légitimité pour le rugby-fauteuil féminin ?
Complètement ! De nombreuses féminines évoluent au sein des équipes masculines mais n’ont pas beaucoup de temps de jeu. Le fait de proposer un tournoi comme celui-ci aux femmes va leur permettre d’avoir un vrai rôle sur le terrain et peut-être d’encourager leurs clubs à les mettre davantage en avant.
Pouvez-vous nous faire un retour sur l’aspect médiatique de cet événement ?
Pour le moment, je n’ai pas encore de chiffres sur ce sujet. France Télévisions a suivi l’équipe de France pour son premier match dans ce tournoi. D’autres médias étaient présents sur cet événement pour relayer les performances des Bleues. Bien évidemment, on espérait avoir plus de médiatisation autour de la Women’s Cup. Malheureusement, d’autres actualités nationales ont pris le pas sur notre compétition. Mais on va essayer de poursuivre cette médiatisation après la fin de ce tournoi.
Trois mois après la fin des Jeux Paralympiques, quel était votre objectif en organisant cette compétition
Clairement, c’était un vrai challenge pour nous. Avant, les Jeux Paralympiques, on avait aucune visibilité sur la planification de cet événement. Il a fallu attendre fin septembre pour enfin mettre sur pied notre organisation. On a voulu le faire trois mois après la fin des Jeux Paralympiques. On souhaitait poursuivre sur cette bonne dynamique et inviter le public à continuer à sensibiliser, à découvrir et à se passionner pour le parasport en France.
« Au niveau international, on constate que de plus en plus de femmes se mettent au rugby-fauteuil »
Au-delà de cette compétition, comment fait-on pour sensibiliser les jeunes générations à la pratique du rugby-fauteuil ?
Tout d’abord, les comités départementaux et régionaux et la Fédération proposent des journées-découvertes pour mettre en avant des disciplines sportives qui concernent tous les types de handicap. Le rugby-fauteuil reste une activité physique particulière car elle concerne seulement les personnes tétraplégiques ou qui ont au moins une atteinte des trois membres. Ensuite, on a invité des centres spécialisés avec des filles éligibles à la pratique de ce sport. Pour vous donner un exemple, Mélanie Sambrès, qui ne connaissait pas ce sport, a découvert le rugby-fauteuil en venant assister à l’édition 2023 de la Women’s Cup. Enfin, il faut faire beaucoup de pédagogie autour de cette discipline car les gens ont tendance à avoir les images du rugby classique. Alors que ce n’est pas le cas puisque le ballon n’est pas le même et les règles du jeu sont différentes. Cependant le rugby-fauteuil reste le sport paralympique par excellence.
La Women’s Cup peut-elle faire naître des vocations ?
Au ni veau international, on constate aujourd’hui que de plus en plus de femmes se mettent au rugby-fauteuil. Par ailleurs, le Comité paralympique sportif et français regarde ce sujet de près afin de voir comment le CPSF peut créer une compétition officielle 1J00% fémininedans cette discipline.
Et la création d’une Coupe du monde l’an prochain en Angleterre pourrait-elle changer la donne pour ce sport ?
Oui, on l’espère tous ! En effet, ce projet, porté par World Rugby et la Fédération internationale de rugby-fauteuil, est en train d’aboutir. On aurait une compétition officielle en marge de la Coupe du monde féminine de rugby à XV en 2025 en Angleterre. Ce serait chouette de retrouver lz sélection britannique pour jouer à nouveau un « Crunch» dans ce contexte-là.
« Le rugby-fauteuil est un sport exceptionnel et impactant »
Selon vous, comment voyez-vous l’évolution du rugby-fauteuil
Il faut en parler bien plus. Il faut mettre en avant certaines sportives afin que les jeunes filles puissent s’identifier à des rôles-modèles. C’est une chose importante à garder dans un coin de sa tête lorsque l’on subit un accident de la vie ou que l’on devient handicapé. Rien n’est perdu car on peut faire quelque chose de sa vie grâce à l’activité physique. Le sport a des bienfaits énorme sur son existence. On se se sent plus épanouie socialement et physiquement…
Quel message avez-vous envie de transmettre auprès des jeunes générations ?
Le rugby-fauteuil est un sport exceptionnel et impactant. Alors, n’hésitez pas à venir le tester. Vous ne serez pas déçues du voyage…
Tous Sports. Sacrée championne paralympique en boccia en septembre dernier aux Jeux de Paris, Aurélie Aubert va devenir la première sportive en situation de handicap soutenue par Ferrero Rocher. L’information a été confirmée ce mercredi 18 décembre par le géant agroalimentaire italien. L’entreprise prendra en charge l’ensemble de ses frais sportifs, ses déplacements,, ainsi que ses équipements. Une bonne nouvelle pour la Normande de 27 ans dans l’optique de préparer Los Angeles 2028 de la meilleure des manières.
Le conte de fées continue pour Aurélie Aubert ! Le 2 septembre dernier, la Normande de 27 ans avait ému tout un pays après avoir décroché la première médaille d’or pour la boccia aux Jeux Paralympiques de Paris. Trois jours plus tard sur le plateau de l’émission « Quels Jeux » diffusée sur France Télévisions. la sportive en situation de handicap avait rappelé son amour pour le chocolat..
À cette occasion, elle avait fait un appel au groupe Ferrero Rocher pour la soutenir. « J’espère que Kinder va nous sponsoriser », en rigolait-elle sur le plateau de France TV. Une vidéo devenue très virale sur les réseaux sociaux.
« A la suite de son appel sur France Télévisions, nous avons été envahis par une vague de messages qui nous demandait de la soutenir », a expliqué le directeur des affaires extérieures de Ferrero France, Fausto Rotelli, dans un communiqué publié sur leurs réseaux.
Aurélie, chez Kinder et @FerreroFr nous sommes émus et fiers d'avoir pu suivre ton parcours, de tes débuts (avec nos Schoko-Bons) jusqu'à cette incroyable réussite 🏅 Regarde vite tes DM Instagram😉
Ce mercredi 18 décembre, le géant de l’agroalimentaire italien a annoncé la signature d’un contrat d’un an renouvelable avec la Normande de 27 ans. « Ce partenariat va donc permettre de planifier sereinement sa saison 2025, toutes les compétitions internationales, les stages » , a rappelé son assistante-coach, Claudine Llop à nos confrères de L’Éqioê.
Excepté l’aspect financier, cette collaboration va sans lui offrir de nouvelles perspectives. La jeune femme, devenue la première sportive soutenue par Ferrero Rocher, va voir l’avenir avec plus de sérénité. Grâce à ce contrat, ele pourra ainsi préparer les Jeux de Los Angeles en 2028 avec beaucoup d’ambition. Et pourquoi pas vivre son rêve américain en Californie afin de mettre définitivement la boccia sur la carte du monde…
Rugby-fauteuil. Quelle performance des Bleues ! Pour la première fois, la France alignait une sélection pour cette quatrième édition de la Women’s Cup organisée du4 au 7 décembre à la Halle Carpentier (13e arrondissement de Paris). Avec deux succès en trois matches de poules, les Françaises n’ont chuté qu’en petite finale face à la Grande-Bretagne (46-44). Malgré cette défaite, les partenaires de Lucie Azens ont pris date pour l’avenir.
Ce samedi 7 décembre, qui aurait parié pour voir l’équipe de France en petite finale de la Women’s Cup organisée à la Halle Carpentier (Paris 13e). Pas grand nombre ! Pourtant elles l’ont fait ! Malheureusement, elles ont échoué au pide du podium après leur défaite face à la Grande-Bretagne (46-44).
« On a manqué un peu de lucidité contre les Britanniques. Sans doute parce que l’on a trop peu vécu ensemble. Avant ce tournoi, on avait effectué qu’un seul entraînement. Certes, c’est peu mais on a réussi à prouver au fil des rencontres qu’on avait bien notre place dans ce tournoi. La preuve, en petite finale, on a joué un match de très haut niveau face à la Grande-Bretagne. Cela prouve qu’avec un peu de travail en commun, on pourra encore faire mieux sur les prochaines compétitions », a expliqué Oriane Brouillet après la rencontre.
Sur cette Women’s Cup, ce n’était pas gagné d’avance. Pour la première fois, la France alignait une sélection nationale sur cette compétition parisienne. Avec un seul entraînement en commun, les Tricolores ne savaient pas trop à quoi s’attendre sur ce tournoi parisien. Mais le début de la compétition a tourné en leur faveur grâce à une victoire inaugurale, ce mercredi soir, face au Brésil (39-12).
Le lendemain, les Bleues avaient rendez-vous avec Energie Team pour lc deuxième match dans cette poule. Avec à la clé, un premier revers dans ce tournoi (46-30). Finalement, les partenaires de Lucie Azens ont terminé cette phase sur une belle note face aux États-Unis (34-24).
Grâce à ces deux succès, les Bleues pouvaient encore espérer grimper sur le podium de cette Women’s Cup. Malheureusement, les Britanniques ne l’entendaient pas de cette oreille et brisent le rêve des Françaises. Malgré cette défaite finale, les coéquipières d’Oriane Brouillet peuvent avoir le sentiment du devoir accompli. Mais surtout celui de prendre date pour l’avenir avec cette équipe de France.
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