Le Paris FC part à la conquête de la Ligue des champions

Troisième de D1 Arlema, le Paris FC démarre sa campagne européenne. Ce jeudi en terres écossaises, les partenaires de Julie Soyer devront d’abord se défaire du Servette FC Chinois féminin avant de retrouver dimanche 21 août le vainqueur du match entre Glasgow et l’AS Roma. Les protégées de Sandrine Soubeyrand veulent s’offrir une chance de disputer le second tour de qualification de la plus prestigieuse des coupes d’Europe en septembre face à une des grosses écuries du football féminin européen. Une belle occasion pour le Paris FC décrire une nouvelle page de sa jeune histoire.

Dix ans après sa dernière apparition sur la scène européenne sous le nom du FCF Juvisy, le Paris FC, qui a fusionné avec le club de l’Essonne en 2017, va tenter de se qualifier pour la première fois de son histoire pour la phase de groupes de la Ligue des champions. Pour certaines joueuses comme anaïg Butel, déjà présente en 2013 avec Juvisy, l’objectif sera de passer ce premier tour de qualification pour la plus prestigieuse des coupes d’Europe.

À l’issue de ce mini-championnat, les Parisiennes, troisièmes en D1 Arkema, pourraient, en cas de succès, se qualifier pour un second tour, et ainsi faire aussi bien voire mieux que les Girondins de Bordeaux au même stade de la compétition. Leur marathon européen débute ce jeudi à Glasgow.

« On a hâte d’y être puisque cela fait presque six semaines qu’on se prépare pour ce rendez-vous. C’est un événement, le premier match de Ligue des champions de l’histoire du Paris FC*, il y a forcément beaucoup d’envie et d’excitation. On a vraiment hâte d’en découdre », explique l’entraîneure du Paris FC, Sandrine Soubeyrand, sur le site officiel de la Fédération française de football (FFF).

Pour leur premier match dans ce mini-championnat, les coéquipières de Julie Soyer affronteront le Servette FC Chinois féminin. Un adversaire coriace pour le Paris FC. En effet, la formation suisse reste sur une participation à la phase de poules de la dernière Ligue des champions et aura à coeur d’y retourner cette année. Les Parisiennes ont préparé ce match avec sérieux.

« Nous avons observé leurs rencontres, essayé de récupérer le maximum d’information à leur sujet même s’il y a eu pas mal de recrues ce qui crée de l’incertitude. C’est aussi ça le charme de cette compétition, cela change des adversaires que nous avons l’habitude de jouer et c’est une chance de se mesurer à d’autres styles de football », avance la technicienne parisienne.

Une belle occasion pour voir le vrai niveau du Paris FC sur la scène européenne. Face à de tels adversaires, l’objectif est clair : les partenaires de Gaëtane Thiney veulent remporter leur deux matches à Glasgow pour franchir ce premier tour et ainsi s’offrir une chance de disputer en septembre un match aller-retour face à une grosse écurie européenne du football féminin.

« Se qualifier a toujours été l’objectif du club depuis la fusion avec Juvisy en 2017. La Ligue des champions vient récompenser notre superbe saison l’an dernier. On suit la ligne de route qui nous est fixée. Le groupe a beaucoup changé depuis l’époque Juvisy. Il a fallu reconstruire une équipe stable et repartir sur de bonnes bases. C’est fait et aujourd’hui on a tout pour continuer cette aventure », révèle la défenseure du Paris FC, Anaïg Butel, à nos confrères de Ouest France.

Ce jeudi en terres écossaises, les Parisiennes espèrent écrire la première page de leur nouvelle histoire sur la scène européenne.

Camille Fahy, déjà toute d’une grande

Arrivée en tant que stagiaire au sein de St-Michel-Auber 93, le 1er août dernier, Camille Fahy a réussi ses grands débuts chez les professionnelles. Sur le Tour des Pyrénées, la jeune femme, âgée de 19 ans, a couru à la perfection, avec à la clé d’excellents résultats personnels. De quoi lui donner beaucoup de confiance pour la suite de la saison avec les Madeleines.

C’est un peu le saut dans l’inconnu pour Camille Fahy. Même si la jeune femme, âgée de 19 ans, avait déjà pris part à des courses internationales comme sur l’Alpes Grésivaudan Classic et le CIC Mont Ventoux dénivelé challenges avec l’équipe de France, elle va découvrir un tout autre univers avec St-Michel-Auber 93.

Arrivée en tant que stagiaire au sein de la formation francilienne (Continental Pro), à compter du 1er août, Fahy piaffait d’impatience à l’idée de se lancer dans le grand bain avec les Madeleines.

« Lorsque j’ai intégré l’équipe francilienne, j’ai connu par la même occasion mon programme de course. Je savais que le Tour féminin international des Pyrénées serait ma première épreuve UCI avec St-Michel-Auber 9. J’avais hâte de d’y être car j’avais très envie de savoir de voir comment les choses se passent chez les professionnelles », nous confie-t-elle.

Pour ses grands débuts en terres pyrénéennes, elle avait un rôle bien défini au sein des Madeleines. « Sur chaque début d’étapes, j’avais pour mission d’être devant. On communiquait entre nous via les oreillettes et on se répartissait les rôles. Je devais aussi rester auprès de Coralie Demay pour la replacer au sein du peloton. Bien sûr, on se devait de faire une course d’équipe avant de penser à mes performances personnelles. Elles viendront naturellement », précise-t-elle.

Elles sont venues grâce à ce travail d’équipe. Malgré un contre-la-montre par équipes compliqué, en raison d’un souci mécanique, Camille a réalisé un top 20 sur l’étape difficile lors de l’arrivée au sommet du col du Soulor, le samedi, et un top 10 le lendemain sur la dernière journée de course à Lourdes. « Je suis un peu surprise d’avoir réalisé de telles performances sur cette épreuve. Je ne m’attendais pas à être à ce niveau-là aussi vite », souffle-t-elle.

Direction les Championnats de France de l’Avenir

De quoi lui donner beaucoup de confiance sur les prochaines courses professionnelles sous ses nouvelles couleurs. En attendant, Camille sera présente à Saint-Martin-de-Landelles (Manche) pour y disputer les Championnats de France de l’Avenir (9 au 13 août), avec son comité régional du Grand Est. Ce mercredi, sur la course en ligne des espoirs, la jeune femme va devoir la jouer malin face à l’armada bretonne.

« Sur une course d’un jour, il ne faudra pas commettre d’erreurs tactiques et être en forme physiquement. Vous savez lorsque l’on vient à un championnat de France, c’est pour aller chercher le titre national ou au moins un podium. Il faut être ambitieuse, je le pense », prévient-elle. Une chose est sûre, on n’a pas fini d’entendre parler de Camille Fahy.

Simone Boilard aime toujours les Madeleines

Arrivée à l’automne dernier, Simone Boilard a décidé de prolonger l’aventure avec St-Michel-Auber 93 jusqu’en 2023, a-t-on appris, ce dimanche en marge de l’arrivée du Tour de France femmes avec Zwift au sommet de la Super Planche des Belles Filles. La Canadienne, âgée de 22 ans, pourra continuer à faire progresser l’équipe vers le plus haut niveau international.

Ce dimanche soir, au sommet de la Super Planche des Belles Filles, Simone Boilard pouvait avoir le sourire. La Canadienne, âgée de 22 ans, vient de boucler son premier tour de France avec la clé une onzième place au classement du mailot blanc de la meilleure jeune. Pour combler son bonheur, la Québécoise a officialisé sa prolongation de contrat avec St-Michel-Auber 93 jusqu’en 2023.  

Arrivée à l’automne 2021 en région parisienne, Simone avait choisi les Madeleines pour son côté familial. Un aspect important pour elle afin d’être épanouie sur le vélo. « Cette année, l’équipe m’a accueilli à bras ouverts après des années de malchances. Tout de suite, j’ai pu bénéficier d’un environnement familier pour entamer ma première saison en Europe. Déjà en une demi saison, j’ai connu des hauts et des bas, et j’ai pu compter sur leur soutien à chaque fois », précise-t-elle dans un communiqué publié par la formation francilienne.

Déjà un statut de leader ?

Pour ses débuts en Continental Pro, Simone a signé de belles performances. La plus marquante restera sans doute son top 10, fin mai sur la RideLondon Classic (manche du calendrier World Tour, Ndlr). Quelques semaines plus tôt, la championne du Canada espoirs avait obtenu un top 15 (12e) sur le Bretagne Ladies Tour Ceratizit. De bon augure avant le Tour de France. 

De quoi faire des étincelles sur l’une des plus grandes courses au monde. Durant cette semaine de course, Simone aura assumé son rôle de leader à la perfection sur ses jeunes épaules. 

« Après avoir pris part  à plusieurs belles courses, on aura plus d’expérience et les bons résultats viendront plus naturellement pour les Madeleines. 2023 sera encore une saison d’apprentissage pour moi. J’ia déjà hâte d’y être »,prévient-elle.

Construire une équipe autour de Simone Boilard

Considérée comme l’une des cartes maîtresses de l’effectif de St-Michel-Auber 93, Simone tentera de confirmer sous ses couleurs des Madeleines. « C’est un gage de confiance qu’elle reste parmi nous. On essaiera de faire encore mieux l’année prochaine autour d’elle », se réjouit sa directrice sportive, Charlotte Bravard.

En effet, St-Michel-Auber 93 veut coninuer à grandir pour atteindre le plus haut niveau international avec Simone à ses côtés. « C’est une vraie satisfaction que Simone fasse confiance à la structure pour l’année prochaine. 2023 sera une année de fin d’apprentissage du haut niveau. Sa signature va lui permettre d’avoir un rôle de leader avec une équipe solide autour d’elle », annonce le manager général de St-Michel-Auber 93, Stéphane Javalet. Rendez-vous en 2023 pour voir Simone Boilard tout casser…

Coralie Demay finit son Tour sur une belle note

Quel numéro réalisé par Coralie Demay, ce dimanche sur la dernière étape de ce Tour de France femmes avec Zwift. Au sommet de la Super Planche des Belles Filles. La Bretonne a pris une belle 17e place à moins de cinq minutes de la gagnante du jour la Néerlandaise Annemiek Van Vleuten (Team Movistar). Grâce à ce bon résultat, la Bretonne termine 24e au classement général. Le Tour est donc réussi pour Coralie Demay et toutes les filles de St-Michel-Auber 93.

Toutes les bonnes choses ont une fin ! Après une semaine de course, Coralie Demay et ses partenaires de St-Michel-Auber 93, encore au complet au moment d’aborder cette ultime étape entre Dure et la Super Planche des Belles Filles. Une belle occasion pour elles de terminer ce Tour sur une belle note.

Mission accomplie puisque la Bretonne, âgée de 29 ans, a réalisé une dernière journée de folie avec à la clé une belle 17e place au sommet de la Super Planche des Belles Filles. La Bretonne finit cette journée épuisée mais heureuse d’avoir bouclé ce Tour de France femmes avec Zwift.

Lire Aussi : Le Classement

« Un peu fatiguée mais quel bonheur d’être là ! C’était magique d’avoir autant de monde sur le bord de la route. Même si cela n’enlève pas la douleur dans les ascensions, les encouragements dans les bosses et dans le final vous portent. C’était une ambiance incroyable. Maintenant, qu’on y a pris goût, on a envie de voir cela à chaque fois sur les autres courses de la saison », raconte-t-elle devant les caméras de France Télévisions.

Ce dimanche, Coralie Demay a voulu profiter de ce public jusqu’au dernier mètre sur les routes du Tour de France femmes avec Zwift. La Bretonne a voulu, encore une fois, avoir un coup d’avance sur toutes les autres concurrentes du peloton international.

Profiter de la ferveur populaire

Partie dans l’échappée du jour, la sociétaire de St-Michel-Auber 93 aura réussi à se dépouiller dans les différentes ascensions avant d’être revue par le groupe des favorites au général à quelques encablures de l’arrivée au sommet de la Super Planche des Belles Filles. La Morbihannaise aura terminé à son rythme et poussée par tout le public français dans les passages à 20 et 24%.

Coralie pouvait avoir le sourire une fois la ligne d’arrivée franchie à un peu plus de quatre minutes de la Néerlandaise Annemiek Van Vleuten (Team Movistar), et qui s’adjuge par la même occasione ce Tour de France.

Coralie Demay : « On peut être fières de nous »

De son côté, Coralie Demay termine 24e au classement général. Sa coéquipière, Simone Boilard, termine aux portes du top 10 (11e) du classement du maillot blanc de la meilleure jeune. Durant cette semaine, on aura vu St-Michel-Auber 93 tous les jours à l’avant.

« Comme on était une équipe invitée, on a toujours essayé d’avoir un coup d’avance et d’être à l’attaque tous les jours. On avait à cœur de montrer que l’on avait notre place. On a bien travaillé. On progresse. Durant cette épreuve, on avait un beau collectif pour emmener Simone sur les étapes pour les sprinteuses. On était toujours bien placées au sein du peloton. Pour ma part, je ne suis pas une pure grimpeuse mais sur le Tour on se surpasse.

« Comme on était une équipe invitée, on a toujours essayé d’avoir un coup d’avance et d’être à l’attaque tous les jours. On avait à cœur de montrer que l’on avait notre place. On a bien travaillé. On progresse. Durant cette épreuve, on avait un beau collectif pour emmener Simone sur les étapes pour les sprinteuses. On était toujours bien placées au sein du peloton. Pour ma part, je ne suis pas une pure grimpeuse mais sur le Tour on se surpasse. On peut être fières de nous », rappelle Demay. On n’a pas fini d’entendre parler de St-Michel-Auber 93…

Coralie Demay : « C’était bien l’étape la plus dure »

À la veille de l’arrivée du Tour de France femmes avec Zwift à la Super Planche des Belles Filles, Coralie Demay est rentrée dans les délais, ce samedi sur l’étape reine de cette épreuve féminine entre de cette épreuve féminine entre Sélestat et Le Markstein. Rendez-vous, ce dimanche dans les Vosges, pour vivre une dernière journée de folie pour Coralie et ses partenaires de St-Michel-Auber 93 sur les routes du Tour.

Avant ce Tour de France femmes avec Zwift, l’arrivée à la Super Planche des Belles Filles pouvait en effrayer certaines avec un dernier mur à 24% à franchir. Cependant, l’avant-dernière étape entre Sélestat et Le Markstein sera sans doute l’étape reine de cette épreuve féminine.

Avec plus de 3 000 mètres de dénivelé positif dans les 90 derniers kilomètres, Coralie Demay s’attendait à vivre sans doute une journée galère. La Bretonne aura terminé dans le top 40 (36e) à une vingtaine de minutes de la gagnante du jour, la Néerlandaise Annemiek Van Vleuten.

Lire Aussi : Le Classement

« C’était bien l’étape la plus dure, je suis contente de l’avoir finie ! J’étais mal placée mais j’ai bien monté le premier col donc j’ai réussi à trouver un petit groupe pas trop mal. Après je lâche à la fin parce que c’est dur et puis l’enchaînement des jours… Je suis contente, physiquement je suis là, je suis vraiment contente de ce Tour mais je pense que demain soir je ne toucherai plus au vélo pendant deux trois jours », a-t-elle réagi devant les caméras de France Télévisions.

Avant de poser son vélo, Coralie devait se faire la peau pour franchir les différents cols au programme de cette journée. Car la sociétaire de la formation St-Michel-Auber 93 s’attendait à voir le peloton volait en éclats. Certaines des favorites, dont Annemiek Van Vleuten, avaient besoin de reprendre du temps pour faire basculer le général en leur faveur.

Coralie Demay a lissé son effort

À un peu plus de 80 kilomètres, la Néerlandaise de la formation Movistar a attaqué dans le col du Petit Ballon. Seule Deni Vollering (Team SD Worx) a pu la suivre. De son côté, Coralie Demay lisse son effort pour éviter de se mettre dans le rouge à vouloir rester avec les meilleures de ce Tour.

Devant, Van Vleuten et Vollering ont fait le ménage au sein du peloton des favorites. Les deux jeunes femmes s’envolent dans cette première montée de la journée. Derrière, La plus âgée des Hollandaises lâche sa compatriote dans le col de Platserwasel. Van Vleuten accroît son avance sur Vollering et file tout droit vers une victoire de prestige au Markstein.

Finir ce Tour sur une belle note

Mais qu’en est-il pour Coralie Demay ? Bien évidemment, la Bretonne regardait ce duel pour le maillot jaune de très loin. L’essentiel était ailleurs pour la sociétaire de St-Michel-Auber 93, invitée sur ce Tour. Considérée comme une non grimpeuse, la Morbihannaise a montré tous ses progrès réalisés en montagne.

Ce dimanche, Coralie Demay pourra à nouveau jouer sa carte dans des pourcentages vertigineux sur cette ultime journée de course. Rendez-vous au sommet de la Super Planche des Belles Filles pour terminer ce Tour de France femmes avec Zwift sur une belle note.

Simone Boilard retrouve le sourire

Enfin ! Simone Boilard pouvait avoir le sourire ! Malchanceuse depuis le début de la semaine sur les routes du Tour de France femmes avec Zwift, la Canadienne, âgée de 22 ans, a pris une très belle seizième place, ce vendredi sur cette sixième étape disputée entre Saint-Dié-des-Vosges et Rosheim. Maintenant place à la haute montagne sur ces deux derniers jours de course.

La chance aurait-elle enfin tourné en faveur de Simone Boilard sur ce Tour de France femmes avec Zwift ? Malchanceuse depuis le début de cette épreuve féminine, la Canadienne, âgée de 22 ans, a enfin pu jouer avec les meilleures sprinteuses mondiales. Ce vendredi, à Rosheim, la leader de la formation de St-Michel-Auber 93 a terminé à la 16e place d’un sprint remporté par la Néerlandaise Marianne Vos (Team Jumbo Visma).

«Enfin! Pas de malchance aujourd’hui! J’ai roulé à bloc du début à la fin. J’ai été un peu hésitante sur le final, mais bon, pas d’excuses. Je suis contente de ma 16e place », a-t-elle réagi sur le site du média canadien TVA Sports. Un résultat doit faire beaucoup de bien au moral de la Québécoise.

Lire Aussi : Le Classement

Après les chutes, les crevaisons et les incidents mécaniques, la leader de la formation francilienne a enfin tout fait pour rester au sein du peloton afin de disputer le sprint final à Rosheim. En l’absence de Lorena Wiebes, retardée par une chute, la Canadienne n’a rien pu faire face à Marianne Vos.

Grâce à son deuxième succès dans ce Tour, la Néerlandaise conforte son maillot jaune et son maillot vert. De son côté, la Québécoise de la formation francilienne remonte au septième rang dans ce classement de la meilleure jeune de ce Tour de France femmes avec Zwift. Ce week-end, Simone Boilard tentera de conserver sa place dans le top 10 de ce maillot blanc sur ces deux derniers jours de course en haute montagne.