Marion Bunel prnd date pour l’avenir

Cyclisme. Après les départs de Coralie Demay et Simone Boilard, on se demandait bien qui pourrait reprendre le flambeau au sein de St-Michel-Mavic-Auber 93. C’est la jeune Marion Bunel, âgée seulement de 19 ans, qui a montré toute l’étendue de son talent pour jouer les yeux dans les yeux face aux meilleures grimpeuses du peloton international sur ce UAE Tour. De bon augure pour la suite de la saison…

Il y a encore quelques semaines, personne ne connaissait Marion Bunel. En l’espace de si peu de temps, la Normande, âgée seulement de 19 ans, s’est fait un nom dans le peloton mondial. La jeune coureuse de la formation St-Michel-Mavic-Auber 93 a terminé à la cinquième place au général, ce dimanche au terme de son premier UAE Tour.

Pas une surpise pour certains car Bunel avait réalisé de bons résultats en début de saison en Australie. Après avoir signé un top 15 sur le Tour Down Under et 13e sur la Cadel Evans Great Ocean Road Race, la coureuse des Madeleines avait coché l’étape reine de ce UAE Tour, avec cette montée finale vers Jebel Hafeet. Dans cette ascension de 10,8 km à 6,8% de pente moyenne, Marion Bunel aura joué les yeux dans les yeux avec les meilleures grimpeuses mondiales.

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La jeune normande se paye même le luxe de répondre aux différentes attaques de la Transalpine Gaia Realini. Malheureusement, elle va craquer à moins de cinq kilomètres du sommet. Bunel finit cette montée à la cinquième place devant des grands noms du peloton international comme Elisa Longo Borghii ou encore Silvia Persico. Ce dimanche, elle aura pu compter sur ses coéquipières pour conserver son top 5 au général à Abu Dhabi. Un résultat plein de promesse pour la suite de la saison.

« Super heureuse de terminer cet UAE Tour à la 5e place ! L’équipe a été très forte et soudée sur les quatre jours de course et on revient avec un très bon bilan. C’est très motivant pour la suite de la saison », a expliqué Marion Bunel sur les réseaux sociaux de l’équipe francilienne. Désormais, Marion Bunel aura un tout nouveau statut à assumer sur les prochaines du calendrier World Tour auxquelles St-Michel-Mavic-Auber 93 prendra le départ…

Tilotama Ikareth, un saut paralympique prometteur

Portrait. Trouver sa voie par le jeu de jambes. Handicapée depuis sa naissance, Tilotama Ikareth est une jeune femme de 19 ans qui pratique le para-taekwondo. Sélectionnée pour le parcours de la flamme olympique à Paris, elle rêve de participer aux Jeux Paralympiques de Los Angeles en 2028.

À force de courage, Tilotama Ikareth a su construire son chemin toute seule. Bien que son handicap ait bouleversé sa vie dès sa naissance, elle a prouvé qu’elle était capable de faire la plupart des tâches quotidiennes de façon indépendante.. Née avec de sérieux dommages neurologiques impactant ses mouvements corporels, notamment au niveau du bras droit, la jeune femme a su vaincre sa différence face aux autres via le sport.

Arrivée en France il y a seulement trois ans, Tilotama avait grandi en Inde. Dès son plus jeune âge, elle a le ballon rond ans la peau. La ssportive en situation de handicap a débuté le football dans on pays avant ‘intégrer une équipe féminine dans la ville de Coulommiers en Seine-et-Marne. Le début d’une belle histoire d’amour avec ce sport.

Durant les Jeux Nationaux de l’avenir handisport (JNAH) de 2022, l’équipe de l’association A-Bras, dont fait partie Tilotama, a remporté la compétition de Foot à 5. La nouvelle a même été relayée dans des journaux indiens. Sa passion pour le sport l’emmène à faire des études dans l’animation.

Résidant dans un petit village de Bellot (Seine-et-Marne), elle a décidé de s’orienter vers un Bac Pro animation. La Franco-indienne possède de l’expérience dans ce domaine puisqu’elle a animé des démonstrations sportives à travers divers évènements liés au sport inclusif. Grâce à son implication, elle se fait repérer par l’association Impulsion 75.

L’animation apparaît comme une évidence ! Tilotama Ikareth a finalement intégré une formation CPQ afin de devenir animatrice sportive grâce à l’association Impulsion 75. Cet organisme social met en place des formations professionnalisantes aux métiers du sport à destination d’un public jeune, notamment parmi les populations dites fragiles.

Grâce à cette formation, Tilotama a pu développer ses compétences pédagogiques, la capacité à encadrer un groupe et un savoir-faire efficace pour organiser diverses séances sportives. Elle a réussi à se démarquer par sa personnalité forte pour tenir son rôle d’animatrice.

Une personnalité paradoxale ! A première vue, on peut voir une timidité en elle. La jeune femme possède un fort caractère et ne se laisse pas faire, comme elle l’a montré durant son épreuve finale pour obtenir son diplôme. Petite de taille, Tilotama paraissait anxieuse avant son évaluation devant un public jeune et masculin.

Durant cette séance de jeu d’opposition, elle a imposé grandement sa loi en encadrant parfaitement son animation. Elle a su mettre son autorité et son contrôle en avant pour que sa séance se déroule sans la moindre fausse note. Visant le métier d’animatrice.

Depuis plus d’un an, la sportive porteuse d’un handicap s’est engagée dans une nouvelle discipline, le para-taekwondo. Lors d’une visite à l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (INSEP), elle se fait repérer par l’entraîneur de l’équipe de France de para-taekwondo. À l’issue d’une initiation, elle se lance un nouveau défi.

Tilotama a pris goût à cette discipline paralympique et s’entraîne régulièrement au Levallois Sporting Club, malgré la longue distance qui la sépare de son lieu de résidence. Sous l’impulsion de ‘Tonton Hans’, la Bellotière progresse de jour en jour, persévère et améliore son jeu de jambes.

En attendant, la jeune athlète en sitaution de handicap aura l’opportunité de prendre partaux festivités des Jeux de Paris. Tilotama rentrera dans le monde olympique en étant sélectionnée pour encadrer le parcours de la flamme. Elle participera au relais collectif aux côtes de nombreuses personnalités du monde du sport. Sa présence est une récompense par rapport à tous ses efforts pour accomplir son rêve pour 2028. Trop tôt pour être candidate à Paris cette année, car la jeune femme vise les Jeux Paralympiques de Los Angeles. À seulement 19 ans, Tilotama Ikareth à l’avenir devant elle…

Contribution pour la mise en avant du handisport. Avec Impulsion 75, Tilotama contribuera au projet Génération 2024 qui consiste à promouvoir les valeurs de l’olympisme et du paralympisme dans les établissements à travers des jeux d’animation sportive. En tant qu’animatrice en situation de handicap, elle symbolisera l’insertion sociale par le sport et sera un exemple de combativité pour construire l’avenir, en bravant les nombreuses barrières.

Tilotama, une petite âme parasportive qui rêve de grandeur ! La Franco-indienne a réussi à se débrouiller toute seule à l’image de sa maîtrise du français alors qu’elle est une pure anglophone. Néanmoins, elle n’utilise pas les mots pour décrire ses ambitions mais marque les esprits par ses actions réelles et concrètes. Vêtue de son dobok, Tilotama Ikareth souhaite atteindre les sommets par son jeu de jambes.

If you can dream it, you can do it !

La Stella Saint-Maur veut rebondir en 2024

Handball. Avec une seule victoire au compteur, la Stella Saint-Maur veut passer la seconde en 2024. Actuellement lanterne rouge en Ligue Butagaz Energie (LBE), les Étoiles ont essayé de faire le bilan de cette première partie de saison durant cette trêve hivernale. À cette occasion, les partenaires de Mathilde Plotton ont également bien travaillé afin de peaufiner leur jeu pour aborder au mieux 2024 en championnat. Et cela commence dès ce mercredi avec la réception de Dijon.

La Stella Saint-Maur n’aurait sans doute pas signé pour vivre un tel début de saison. Avec une seule victoire au compteur pour dix défaites, les joueuses du Val-de-Marne occupent la dernière place du classement général en Ligue Butagaz Energie. « On savait que cette première partie de saison serait compliquée pour nous. Car, on a fait le choix de ne pas bouleverser notre effectif. On a conservé les mêmes joueuses que l’an dernier lorsqu’on évoluait à l’échelon inférieur. Forcément, on manque un peu d’expérience car pour la plupart d’entre nous, on n’a jamais joué à ce niveau-là », nous confie l’arrière gauche des Étoiles, Mathilde Plotton, jointe par téléphone.

Pourtant les partenaires de Marie Lachat avaient réalisé de belles prestations par séquences. Au final, la rencontre n’avait pas basculé en leur faveur. Par exemple, elles avaient perdu d’un but face à Saint-Amand, de trois buts contre Nice, ou encore de quatre longueurs contre Paris 92. Des revers frustrants pour les Étoiles. Cependant, elles ont pu voir l’écart qu’il pouvait exister entre elles et les meilleures formations en LBE. « L’an dernier, en Deuxième Division, on pouvait entre guillemet être imprécises. Cette année, chaque balle approximative face aux locomotives du championnat se paye cash », concède-t-elle.

Repartir de plus belle en 2024

Désormais, le temps de l’apprentissage est terminé pour la Stella Saint-Maur. Il va falloir passer la seconde en 2024. Pour y parvenir, les Franciliennes ont ainsi identifié ce qui n’avait pas fonctionné en 2023. « On avait le syndrome de l’imposteur. On se demandait si on méritait d’être là. Certaines avaient la pression de jouer au plus haut niveau français. Ce n’était pas simple à gérer. On a alors fait appel à un préparateur mental pour mettre le doigt sur nos problèmes et ainsi pouvoir les résoudre. On a effectué un travail collectif afin de pouvoir gérer la pression et de se sentir légitimes », précise-t-elle.

Durant cette trêve hivernale, les Étoiles ont ainsi peaufiner leur jeu sans rien révolutionner afin de gommer les erreurs connus depuis le début du championnat. Mais surtout trouver une stabilité et trouver une certaine continuité dans notre jeu. « On avait souvent tendance à avoir des périodes de flottement durant nos rencontres. Il fallait gommer ces erreurs dans nos temps faibles et pouvoir enfoncer le clou dans nos moments forts. Je pense que ce manque e régularité nous a beaucoup pénalisé durant la phase aller du championnat », avoue Mathilde Plotton.

Il y a quelques motifs d’espoirs pour la Stella Saint-Maur. « Pour être honnête avec vous, je ne ressens pas cette crainte de redescendre à l’échelon inférieur un an tout juste après notre montée en Ligue Butagaz Energie (LBE). On a beaucoup travaillé durant la trêve hivernale, mais surtout on a amélioré notre plan de jeu défensif et offensif pour aborder au mieux cette deuxième partie de saison. On reste optimistes car il y a encore de nombreuses rencontres à disputer avant de penser à la relégation. Bien évidemment, je ne vais pas vous dire qu »on est confiantes mais je trouve que l’on est concentrées sur nos échéances à venir. Le mois de anvier va être crucial pour nous dans cette lutte pour le maintien », évoque Mathilde Plotton. Et cela débute dès ce mercredi 10 janvier avec la réception de ijon.

Marie-Divine Kouamé, reine du sprint

Cyclisme. Malgré le forfait de Mathilde Gros, juste avant les quarts de finale, la championne du monde du 500 mètres départ arrêté en 2022 a décroché un deuxième titre national après celui glané en 2021 à Bourges. En finale du tournoi de vitesse individuelle, la licenciée de l’US Créteil a dominé en deux manches sa coéquipière Marie-Louisa Drouode. De son côté, Julie Michaux, elle-aussi membre du club val-de-marnais, complète ce podium 100% cristolien.

À toi, à moi ! Depuis trois ans, un duel s’est installé entre Marie-Divine Kouamé et Mathilde Gros au sommet du sprint féminin français. Même si la Provençale reste sur deux titres nationaux consécutifs dans cette discipline, la licenciée de l’US Créteil avait à cœur de prendre sa revanche. Finalement, après le forfait de Mathilde Gros, juste avant le début des quarts de finale du tournoi de vitesse individuelle, Kouamé s’addjuge le titre national dans cette discipline, ce jeudi, à l’occasion de cette première journée des Championnats de France de cyclisme sur piste disputés au Vélodrome national de Saint-Quentin-en-Yvelines.

« Je suis contente car cette journée avait commencé difficilement pour moi. Étant malade depuis quelques jours, je n’étais pas certaine de m’aligner sur cette épreuve. Au final, je suis là et je repars avec le titre national », a avoué Marie-Divine Kouamé au micro d’Eurosport.

Mathilde Gros déclare forfait

Quelques heures plus tôt, on s’attend à vivre un nouveau duel entre Marie-Divine Kouamé et Mathilde Gros. En effet, la championne du monde 2022 de la discipline avait réussi le meilleur temps des qualifications juste devant la licenciée de l’US Créteil.

À l’heure de disputer les quarts de finale, le speaker du vélodrome national annonçait à son micro le forfait de la Provençale. Par conséquent, la jeune Lisz Guillet (18 ans) se qualifiait directement pour le dernier carré de ce tournoi de vitesse individuelle.

De son côté, Marie-Divine ne forçait pour se hisser en demi-finales, et ainsi retrouver sa coéquipière Julie Michaux. Et à ce petit jeu, Kouamé ne sera pas tombée dans le piège tendu par son adversaire pour valider son billet pour la finale. De son côté, Michaux disputera la petite finale et ainsi décrocher le bronze comme l’an dernier.

Lire Aussi : Le classement final 

« C’est toujours intéressant de me frotter à Marie-Divine Kouamé. Bien évidemment, elle est bien plus fort que moi. Cependant, cela m’aide à progresser au quotidien. Et puis, vous savez après ma lourde chute survenue en Pologne, ce Championnat de France n’était pas un objectif pour moi. Mais j’ai tenté un coup face à Marie-Divine mais cela n’a pas fonctionné. Cela me permet d’apprendre de mes erreurs. Certes, je suis un peu frustrée mais je ressors satisfaite de ce tournoi de vitesse », raconte-t-elle après sa belle médaille de bronze obtenue face à sa coéquipière Lisa Guillet.

De son côté, Marie-Louisa Drouode a réussi un beau tournoi de vitesse. Pour ses premiers Championnats de France, la licenciée de l’US Créteil va disputer la grande finale face à Marie-Divine Kouamé. Une belle occasion pour elle d’acquérir plus d’expérience contre des coureuses de ce niveau-là pour celle qui était encore junior il y a quelques temps.

Kouamé, évidemment

« Ce n’est jamais simple de passer du niveau junior à celui des élites. Car, il y a très peu de courses lorsque vous êtes en espoirs. Il faut s’aapter tout e suite au haut niveau. Il faut avoir la bonne technique et savoir prendre la bonne roue. J’ai réussi à le faire pour monter sur ce podium des Championnats de France », précise Marie-Louisa Drouode, au micro d’Eurosport.

Au final, la plus expérimentée des deux jeunes femmes l’emporte en eux manches. Elle décroche par la même occasion son deuxième maillot bleu-blanc-rouge dans cette discipline  après celui obtenu en 2021 à Bourges. Il ne lui reste plus qu’à aller chercher le titre sur le keirin et le 500 mètres départ arrêté pour réaliser le triplé cette semaine à Saint-Quentin-en-Yvelines.

Selena Janicijevic finit l’année en beauté

Tennis. Ce week-end, Selena Janicijevic a terminé2023 de la plus belle des manières en remportant le 60 000 dollars de Vacaria au Brésil. Grâce à ce troisième trophée remportée cette année, après ceux glanée à Sopo en Colombie et à Lujan en Argentine, la licenciée du TC 16 pointe au 229e rang mondial à la WTA. Un classement qui pourrait lui ouvrir les portes des qualifications pour le prochain Open d’Australie.

Quelle belle fin de saison pour Selena Janicijevic ! Pourtant, ce n’était pas gagné d’avance ! Même si elle démarré 2023 sous le meilleur auspices, la licenciée du TC 16 était retombée à la 320e place au classement WTA au cours de cet automne. Heureusement pour elle, Janicijevic a bouclé cette année de la meilleure des manières en remportant ce week-end le 60 000 dollars de Vacaria au Brésil.

Après de bons résultats obtenus en Argentine et en Grèce, la Parisienne espérait bien s’imposer en arrivant sur le sol brésilien. C’est chose faite au terme d’une semaine parfaite. Après des victoires convaincants contres contre les deux Brésiliennes Sofia Da Cruz Mendonca (6-1, 6-0), puis Carolina Meligeni Alves (6-0, 6-1), et de l’Argentine Solana Sierra (7-6, 6-4). Derrière, la Française aura eu besoin de trois sets pour prendre sa revanche Julia Riera (6-3, 3-6, 6-4), qui l’avait dominée, fin novembre à Buenos Aires (Argentine), pour se hisser en finale de ce tournoi auriverde.

Ce samedi, au terme d’une bataille de 2h15 de jeu , Selena Janicijevic aura livré une prestation de haut vol pour s’imposer en trois sets face à la Portugaise Francisca Jorge (3-6, 6-3, 6-2). Elle décroche son troisième trophée en 2023 après ceux obtenus à Sopo en Colombie et à Lujan en Argentine.

Un succès qui lui permet de gagner 58 places et remonte au 229e rang mondial à la WTA. Un classement qui pourrait lui ouvrir les portes des qualifications de l’Open d’Australie. Verdict dans les semaines à venir pour voir si Selena Janicijevic aura son sésame pour le premier Grand Chelem de la saison…

Le Racing club de France finit l’année sur une belle note

Hockey sur gazon. Pour ce dernier match de la phase aller du Championnat de France de hockey sur gazon, le Racing club de France s’est imposé face au Stade Français (3-0), ce dimanche 19 novembre dans son enceinte du Golf de la Boulie à Versailles. Grâce à ce sixième succès en neuf rencontres disputées, les protégées de Fabien Tornabène terminent cette première partie de saison à la deuxième place au classement général,, à égalité de points avec le leader Saint-Germain qui a encore un match en retard à jouer le 26 novembre à Lille. Rendez-vous en mars prochain pour la reprise du championnat.

Le Racing club de France semble avoir enfin trouvé son rythme de croisière en Elite après un début de saison mitigé. « Certes, on a connu quelques problèmes mais on a tout mis à plat. Depuis, il y a une superbe ambiance et toutes nos rencontres se passent bien désormais », a précisé Marion Chalandon après la rencontre.

En effet, depuis leur défaite face à Saint-Germain (1-3), le 22 octobre dernier, les Yvelinoises ont enchaîné les victoires en Elite. Ce dimanche 19 novembre, les joueuses du Racing club de France ont enregistré un quatrième succès de rang face au Stade Français (3-0), à l’occasion de la neuvième et dernière journée de la phase aller du Championnat de France de hockey sur gazon.

Paola Le Nindre signe son sixième but en Elite

Une victoire qui aura mis du temps à se dessiner. Il aura fallu attendre le deuxième quart-temps pour assister à l’ouverture du score dans cette partie. Il est l’oeuvre de Paola Le Nindre, auteure déjà de son sixième but en Elite. Le RCF rejoint finalement la mi-temps avec cette courte avance face au Stade Français.

Au retour des vestiaires, Margaux Grunbaum va doubler la mise pour le club des Yvelines. Enfin, sur un petit corner, Marion Chalanddon récupère la balle repoussée par la gardienne du Stade Français pour inscrire le troisième et dernier but dans cette partie.

Le RCF sur le podium

« Notre objectif premier était de s’imposer face au Stade Français. Le score n’était que secondaire. Même si on a mis à se mettre en route, on a réussi à prendre nos marques au fil des minutes pour l’emporter 3-0. On est bien évidemment contentes de ce résultat », nous a confié Marion Chalandon, après la rencontre.

Grâce à ce sixième succès de la saison, les protégées de Fabien Tornabène occupent désormais la deuxième place au classement général, à égalité de points avec Saint-Germain. qui compte un match en retard à disputer le 26 novembre à Lille. Rendez-vous le 3 mars 2024 pour voir le Racing club de France faire des étincelles sur cette pjase retour en Elite.