Chloé Urbain, de retour du Tour

Cyclisme. À l’occasion de l’opération « Elles arrivent », Chloé Urbain a pu vivre une expérience incroyable sur la deuxième édition du Tour de France femmes avec Zwift (23 au 30 juillet). Durant trois jours, la licenciée du VC Montigny-le-Bretonneux aura pu visiter le bus de l’équipe DSM et celui de St-Michel-Mavic-Auber 93, échanger avec Juliette Labous ou encore rouler sur les trente premiers ou derniers kilomètres de ces trois étapes de ce début de Tour. Un moment qui restera à jamais graver dans sa mémoire.

Quand on parle du Tour de France, on a des papillons dans le ventre et des étoiles dans les yeux. On se met même à espérer un jour prendre part à la plus grande épreuve cycliste au monde lorsque l’on est plus jeune. Gr$ace à l’opération « Elles arrivent », c’est un rêve qui est devenu réalité pour Chloé Urbain. Durant trois jours, la collégienne aura pu être dans la roue des championnes, et ainsi vivre des moments inoubliables sur les routes de la Grande Boucle féminine. « J’ai adoré ! C’était une aventure incroyable », se réjouissait-elle.

Arrivée le samedi à Clermont-Ferrand, ville-hôte du Grand Départ de cette deuxième édition du Tour de France femmes avec Zwift, Chloé allait faire connaissance avec ses nouvelles coéquipières. « Une fois à l’hôtel, j’étais avec avec Océane Panor dans ma chambre. Cela nous a permis de mieux nous connaître et d’échanger autour de l’organisation du Tour de France. C’était super chouette d’être de discuter avec elle », nous confiait-elle.

Maintenant place aux choses sérieuses. Ce dimanche, les vingt-quatre stagiaires pouvaient démarrer leur aventure avec une petite pointe de stress. « Au début, on était un peu timides. C’est bien normal », avouait-elle.

Dans une bonne ambiance, toutes les jeunes filles ont pu parcourir les trente derniers kilomètres de cette première étape du Tour de France femmes avec Zwift. Arrivées une heure avant les professionnelles, elles ont été présentées au public avant d’assister de près à la victoire de la Belge Lotte Kopecky à Clermont-Ferrand.

« On était super bien placées ! On était à 25 mètres de la ligne d’arrivée. Comme elles n’ont pas terminé cette étape au sprint, on a pu les voir de très près. C’était impressionnant de les voir débouler à une telle vitesse . Après l’arrivée, on a pu découverir ce qui se tramait derrière le podium », racontait-elle.

Ce lundi 24 juillet, l’équipe, considérée comme la 23e sur ce Tour, a été divisée en deux groupes de 12 coureuses. Chloé Urbain était présente dans le premier. Par conséquent, la licenciée du Vélo club de Montigny-le-Bretonneux (VCMB) était présentée à Clermont-Ferrand, au départ de cette deuxième étape.

La Francilienne partait rouler sur les trente premiers kilomètres, alors que le deuxième groupe allait faire les trente derniers kilomètres à Mauriac, terme de cette deuxième étape du Tour. Le soir, les jeunes filles ont pu échanger avec Juliette Labous, (DSM-Firmenich) ou encore faire des selfies avec Marianne Vos. Une journée riche en émotion pour Chloé .

Entre Collonges-la-Rouge et Montignac-Lascaux, Chloé aura donné ses derniers coups de pédale ce mardi 25 juillet au terme de cette troisième étape sur le Tour de France femmes avec Zwift. Le soir même, elle avait la chance de visiter le bus de l’équipe DSM-Firmenich (World Tour), puis celui de St-Michel-Mavic-Auber 93 (Continentale Pro), avec quelques petites différences.

« Dans celui de la formation tricolore, c’était plutôt un camping-car. Chez DSM, les filles avaient un peu plus de confort, avec un petit coin salon au fond de leur bus.Mais dans les deux cas, il y a une petite cuisine, une douche et des toilettes. C’était super de vivre cette expérience », résumait-elle.

Même si c’est déjà l’heure de faire ses adieux au Tour de France, Chloé s’y voit déjà l’an prochain. « Si l’opération se renouvelle, je ferai tout pour y être. Cela me donne plus envie de me mettre à la route », avançait-elle. Chloé Urbain a pris date pour l’avenir…

Noéline Polycarpe : « Je n’arrive toujours pas à réaliser que je viens de terminer le Tour de France »

Cyclisme. À seulement vingt-cinq ans, Noéline Polycarpe vient de boucler son premier Tour de France. Partie le 30 juin dernier du Pays Basque, la coureuse de Donnons des elles au vélo-Evry-Courcouronnes vécu une expérience incroyable. Durant trois semaines, la professeure des écoles, récemment installée en Ile-de-France, craignait de retarder le reste du groupe sur ce parcours très montagneux. N’étant pas une pure grimpeuse, l’équipe l’a mise en confiance pour franchir au mieux les différents cols mythiques de ce Tour, et tout particulièrement la terrible ascension du col de la Loze. Au final, grâce à un staff à leurs petits soins, Néoline aura pu se rendre compte qu’elle peut encaisser trois semaines sur un vélo sur de longues distances, et avec un fort dénivelé positif. Maintenant place à quelques jours de repos avant de reprendre le vélo pour finir la saison avec son club en Coupe de France nationale.

Noéline, dans quel état d’esprit êtes-vous à l’arrivée de votre premier Tour de France ?

Je suis soulagée d’être arrivée. Cependant, il persiste une petite pointe de tristesse car demain, chacune va reprendre sa petite vie. C’est donc un sentiment mitigé qui prédomine ce samedi soir, au terme de ce Tour de France.

À l’heure de donner vos derniers coups de pédale, comment avez-vous vécu cette ultime journée sur le vélo ?

Cette dernière étape s’est très bien passée pour moi. Mes proches sont venues m’encourager et me soutenir, ce samedi matin à Montigny-le-Bretonneux. C’était  forcément une journée spéciale car demain on sera dans notre lit et que l’on ne sera pas obligée de se lever et de repartir sur le vélo avec les copines. C’est un peu étrange comme sentiment…

Comment était l’ambiance au sein du groupe ?

Au début, on a fait connaissance à l’occasion d’un week-end de cohésion de groupe avant le grand départ au Pays Basque. Au fur et à mesure, on a appris à se connaître. Et puis, vous savez, on est vite entrées dans le vif su sujet car la montagne est arrivée assez rapidement sur ce Tour de France. On était très soudées face aux différentes difficultés à affronter. Il y avait une ambiance de folie au sein du groupe. Pour ma part, n’étant pas une pure grimpeuse, je craignais de retarder le groupe dans les différentes ascensions. Je leur demandais à chaque fois : « cela ne fait pas trop longtemps que vous m’attendez ». Et elles me répondaient : « ne t’inquiète pas. Il n’y a pas de souci ». Elles ont réussi à me mettre en confiance. Cela me faisait du bien d’être soutenue par toute une équipe comme cela.

« Il y a encore cinq ans, je ne connaissais pas ce projet »

Qu’est-ce-que représente pour vous d’être sur le Tour

C’est magique ! Je n’arrive pas encore à réaliser que je viens de faire le même Tour que les hommes. Peut-être que je vais commencer à y croire dans les prochaines semaines.

Lorsque vous étiez petite, auriez-vous un jour imaginé prendre le départ d’une telle aventure ?

Pas du tout ! Il y a encore cinq ans, je ne connaissais pas ce projet. Lorsque j’ai découvert cette aventure, je ne pensais pas le faire en raison de mon travail. Puis, à force de voir les filles y prendre part, j’ai décidé d’y aller cette année pour vivre une aventure incroyable.

Comment avez-vous apprehendé ce parcours si difficile ?

À la base, je ne suis pas une grimpeuse. Ce n’est pas la première semaine qui me faisait peur mais bien la dernière. Même si s’il y avait moins de kilomètres à parcourir avec le chrono et l’arrivée à Pairs. Au milieu, il fallait franchir le terrible col de la Loze. On avait toutes peur de cette montée. On en a parlé durant deux semaines avant d’y arriver. Une fois au sommet, on se disait qu’on a réussi à le faire. Avant, il aura fallu également escalader le Tourmalket, le col de Marie-Blanque ou encore celui de Joux Plane. Sans oublier le Pays Basque qui n’aura pas été de tout repos. Dès le premier jour, il aura fallu se coltiner une bosse à plus de 20%. C’était un Tour difficile mais on était toutes restées soudées tout au long de cette aventure. Tout cela aura été possible grâce à notre super staff pour rentrer à Paris en un seul morceau.

« C’était chouette de bénéficier de cette effervesce autour du Tour de France »

Vous attendiez-vous à vivre un début d’aventure aussi musclé ?

On est vite entrées dans le vif du sujet sur ce Tour. Comme je vous le disais précédemment, il a fallu gravir une bosse à plus de 20% d’entrée de jeu. Le lendemain, il fallait affronter l’une des étapes les plus longues du Tour avec la côte de Jaizkibel à gravir dans les derniers kilomètres. Finalement, tout s’est bien passé. Ces premières journées sur la Grande Boucle se sont bien enchaînées. Ce qui a été un peu long car on est partie le vendredi pour aller jusqu’au samedi suivant. On avait dû avaler neuf étapes sur cette première partie de l’aventure. Par la suite, c’était un peu plus léger sur a suite du parcours, avec six étapes sur la deuxième et six sur la dernière semaine du Tour. Forcément, on était heureuses d’avoir cette première journée de repos. À cette occasion, certaines ont pu se reposer, d’autres ont pu se baigner ou partir faire une marche. On en avait vraiment toutes besoin après un début aussi difficile sur le vélo.

Sur cette première semaine, avez-vous constaté une certaine effervescence autour de vous ?

C’était un peu moins le cas sur les étapes de plat. Dans les cols, il y avait déjà de nombreux camping-cars. C’était impressionnant ! Il y avait également des tantes à plus de 1 600 mètres d’altitude. Je n’avais jamais vu cela de ma vie. Les spectateurs nous encourageaient dans les différentes ascensions. C’était chouette de bénéficier de cette effervescence autour du Tour de France. Cela nous a redonné beaucoup d’énergie pour franchir ces cols mythiques sur la Grande Boucle.

Comment avez-vous appréhendé la suite de ce parcours ?

Cette première journée nous a fait du bien. Derrière, on a retrouvé de bonnes sensations pour repartir de plus belle sur cette deuxième semaine, avec six étapes à franchir. Durant cette semaine-là, on visité des paysages magnifiques. C’était trop bien !

« Après l’étape du col de la Loze, les jambes ne répondaient plus trop »

Dans cette dernière semaine, le col de la Loze restait le gros morceau à escalader. Qu’est-ce que l’on se dit sur le vélo à l’idée d’affronter cette montée si difficile ?

On se dit qu’on n’avait pas trop le choix. Avant d’arriver au col de la Loze, cette étape avait été infernale avec le col des Saisies (13,4 km à 5,1%), le Cormet de Roselend (19,9 km à 6%) et la côte de Longefoy (6,6 km à 7,5%). Et puis, il a fallu gérer la circulation à gérer jusqu’à Courchevel. Le plus dur restait à faire. Une fois sur la piste cyclable, tu dois t’accrocher car tu ne veux pas décevoir le reste du groupe. Et cela l’a fait en restant concentrée sur le vélo. Une fois au sommet, il restait une petite descente avant d’arriver à l’Altiport de Courchevel, avec une dernière pente à 18% à gravir pour boucler cette terrible étape.

Après cette étape difficile, comment avez-vous abordé cette dernière journée de montagne sur le Tour ?

Pour moi, après l’étape du col de la Loze, les jambes ne répondaient plus trop sur cette dernière journée de montagne. J’ai craqué physiquement dans le Markstein. C’était une montée très longue sur un revêtement qui ne rendait rien. Heureusement, il y avait un accueil de folie pour nous. C’était une ultime opportunité pour nous d’échanger avec le public autour de notre projet avant l’arrivée à Paris.

Qu’allez-vous retirer de ces trois semaines sur le Tour de France ?

Je n’arrive toujours pas à réaliser que je viens de terminer le Tour de France. Je repars de cette aventure avec des certitudes. Je me suis rendue compte que j’avais du mental et que je peux encaisser trois semaines sur le vélo. Vous savez, le corps est une machine surprenante. Tous les matins, je savais que je devais parcourir 180 kilomètres., Et mon corps me pousser à faire les efforts tous les jours. Maintenant place au repos pndant quelques jours avant de reprendre le vélo…

Dilyxine Miermont prolonge l’aventure avec les Madeleines

Cyclisme. Alors que les filles de St-Michel-Mavic-Auber 83 sont à Pau pour clôturer cette deuxième édition du Tour de France femmes avec Zwift, la formation francilienne a annoncé une, ce dimanche sur ses réseaux sociaux, la prolongation de contrat de Dilyxine Miermont pour un an de plus. La Clermontoise, âgée de 23 ans pourra continuer à progresser et à découvrir le haut niveau mais surtout pour participer aux plus belles courses cyclistes internationales avec les Madeleines.

Dans quelques heures, Dilyxine Miermont va boucler son premier Tour de France femmes avec Ewift. À l’heure de disputer ce contre-la-montre final à Pau, la Clermontoise, âgée de 23 ans, pouvait avoir le sourire puisque son équipe a annoncé sur ses réseaux sociaux la prolongation de son contrat pour une année supplémentaire avec les Madeleines.

« Elle (Dilyxine) portera toujours nos couleurs en 2024 avec des ambitions à la hausse », pouvait-on lire dans le communiqué publié sur les réseaux sociaux de la formation francilienne. Arrivée en octobre dernier chez les Madeleines, l’Auvergnate a montré un très beau potentiel et une parfaite intégration au groupe.

Dilyxine Miermont, déjà un élément incontournable de l’équipe

Pour sa première année chez les professionnelles en 2023, Dilyxine a obtenu des résultats probants avec l’équipe Continentale Pro francilienne.  En février dernier, elle aura décroché une treizième place sur l’UAE Tour, comptant pour le calendrier World Tour féminin. Elle aura aussi réussi à se classer quatrième sur l’Alpes Grésivaudan Classic. Sans oublier sa septième de la course en ligne des Championnats de France disputés en juin dernier à Cassel (Nord). Une vraie belle satisfaction pour l”quipe francilienne.

« Pour sa découverte du peloton professionnel, elle a montré de belles capacités et elle nous a prouvé qu’elle était déjà un élément incontournable de l’équipe. Nous sommes heureux de pouvoir l’accompagner dans son évolution », a précisé sa directrice sportive, Charlotte Bravard. Rendez-vous en 2024 pour voir Dilyxine Miermont performer sur les plus belles courses cyclistes internationales…

Coralie Demay semble de mieux en mieux sur le Tour

Cyclisme. Coralie Demay semble avoir retrouvé de bonnes sensations sur le vélo. Après un début de Tour de France femmes avec zwift, la leader de la formation St-Michel-Mavic-Auber 83 a très envie de se montrer à l’avant sur cette étape-reine, ce samedi entre Lanemezan et le col du Tourmaleet. Au final, la Morbihannaise termine à plus d’un quart d’heure de la lauréate du jour, la Néerlandaise Demi Vollering (SD Worx). Ce dimanche, Demay tentera de grappiller quelques places au classement général au terme de ce contre-la-montre final à Pau.

« Je me sens mieux qu’en début de Tour. Certes, je ne suis pas une pure grimpeuse mais je vais essayer de m’accrocher le plus longtemps possible avec les meilleures. Je vais essayer de faire une belle étape », prévenait Coralie Demay au micro de France Télévisions. La Morbihannaise avait bien une idée derrière la tête sur cette étape de légende au sommet du Tourmalet.

Partie en solitaire, la leader de la formation St-Michel-Mavic-Auber 93 voulait aborder le col d’Aspin avec de l’avance mais le peloton des favorites en avait décidé autrement. Demay rentre dans le rang. Dans cette première ascension de la journée, longue de 12 kilomètres à 6,5% de pente moyenne, Coralie aura réussi à suivre le rythme infernal des coéquipières d’Annemiek Van Vleuten une bonne partie de cette montée avant finalement de décrocher.

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Coralie Demay va assister de loin à l’explication finale entre Demi Vollering (SD Worx) et Annemiek van Vleuten (Movistar) dans le col du Tourmalet. À cinq kilomètres du sommet, la Néerlandaise de 26 ans a placé un démarrage décisif. Plus personne ne la reverra jusqu’à la ligne d’arrivée. Pas même la tenante du titre qui termine à plus de deux minutes de Demi Vollering, la nouvelle porteuse du maillot jaune.

De son côté, Demay a géré à son rythmé sa montée du Tourmalet dans un épais brouillard. La sociétaire de St-Michel-Mavic-Auber 93 boucle cette septième étape à plus d’un quart d’heure de la gagnante du jour. Au classement général, Demay occupe désormais la 28e place. Une chose est sûre, la spécialiste de l’exercice en solitaire espère bien grappiller quelques places ce dimanche sur le contre-la-montre final de ce Tour de France femmes avec Zwift à Pau.

Les Madeleines jouent de malchance à Blagnac

Cyclisme. À la veille du week-end décisif du Tour de france femmes avec Zwift, où l’arrivée au Tourmalet et le chrono de Pau décideront du classement final, les Madeleines avaient tout mis en oeuvre pour permettre à Simone Boilard de se battre parmi les meilleures sprinteuses mondiales, ce vendredi à Blagnac. Malheureusement, la Canadienne a été retardé à cause d’une chute survenue à l’approche du dernier kilomètre de cette sixième étape. Elle se classe finalement 29e. Maintenant direction les Hautes-Pyrénées pour le reste du peloton.

Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas ! Après les chutes, les crevaisons et un début de Tour galère, les Madeleines espéraient enfin mettre sur orbite Simone Boilard à Blagnac. Malheureusement la sprinteuse canadienne a vu ses chances de réaliser un bon résultat sur cette sixième étape à cause d’une chute survenue à l’approche du dernier kilomètre.

Pourtant toute l’équipe avait bossé toute la journée pour Simone.« C’était encore une journée rapide et difficile. On a essayé d’être offensives, de prendre l’échappée mais la formation DSM a cadenassé la course. On a tout fait pour emmener Simone Boilard dans les meilleures dispositions pour le sprint. Au final, on est pris dans une chute et je ne sais même pas à quelle place elle termine cette étape », regrettait Margot Pompanon au micro de France Télévisions.

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  Devant, le bras de fer entre les baroudeuses et les sprinteuses aura encore une fois souri à l’échappée., comme sur les deux derniers jours, La Danoise Emma Jorgensen (Movista), âgée de 24 ans, a réussi à résister au retour de la meute pour s’imposer en solitaire à Blagnac.

Pour St-Michel-Mavic-Auber 93, il n’y aura pas de nouveau top 10 puisque Simone Boiulard se classe finalement 29e. A présent, cap sur l’étape-reine, et l’enchaînement du col dAspin puis celui du Tourmalet ce samedi, avant le chrono de dimanche à Pau pour conclure cette deuxième édition du Tour de France femmes avec Zwift sur une note positive…