Julie Michaux sur les traces de Mathilde Gros

À seulement vingt ans, Julie Michaux est l’un des nouveaux visages que l’on apprend à découvrir au sein de cette équipe de France de vitesse. À Saint-Quentin-en-Yvelines, la sociétaire de l’US Créteil va vivre ses premiers Championnats du monde. Engagée sur l’épreuve par équipes et le 500 mètres départ arrête, elle espère vivre un moment inoubliable sur cette piste où elle s’entraîne tous les jours.

Sans faire trop de bruit, Julie Michzux est en train de s’installer comme une cadre de cette équipe de France de vitesse. Pourtant, il y a encore quelques années, personne ne la connaissait. Aujourd’hui, elle compte bien faire chavirer tout le public français, à l’occasion de ces Championnats du monde organisés du 12 au 16 octobre à Saint-Quentin-en-Yvelines.

« Je ne vais pas vous le cacher, je vais disputer mes premiers Mondiaux à domicile devant mon public, mes proches et la France entière. Je m’attends à vivre un moment incroyable ! Pour le moment, je n’y pense pas trop sinon le stress va monter très vite. Je vis au jour le jour », avoue-t-elle.

Du basket au vélo, il n’y a qu’un pas

Une obligation pour celle qui ne connaissait pas grand-chose au vélo, il y a encore quelques temps. En l’espace de trois ans, elle a vite appris. Née à Dunkerque dans une famille de sportifs, Julie, qui réside aujourd’hui au Pôle olympique de Saint-Quentin-en-Yvelines, pratiquait le basket pendant neuf ans avant de découvrir la piste. Ce parcours pourrait nous rappeler celui d’une certaine Mathilde Gros, aujourd’hui devenue la patronne du sprint français.

« Oui, on pourrait le penser. La seule différence avec Mathilde, c’est que j’ai continué le basket à haut niveau à Nice. En parallèle, Je pratiquais le vélo. À un moment, c’était trop difficile de performer dans ces deux sports. Tellement que mon corps à dit stop. J’ai alors compris que je devrais faire un choix », précise-t-elle.

Direction le Pôle olympique de Saint-Quentin-en-Yvelines

Finalement, le cyclisme sur piste aura eu le dernier mot. Après avoir fait ses premiers coups de pédale sur le vélodrome de Costebelle à Hyères, la jeune femme à rejoint le Pôle olympique de Saint-Quentin-en-Yvelines pour continuer à faire ses armes sur la piste. Depuis l’arrivée de Grégory Baugé en janvier dernier, Julie n’avait plus le temps pour ses études en psychologie.

« Les entraînements sont devenus très intenses. Je n’avais plus de temps et d’énergie pour mes cours. J’ai alors demandé un aménagement auprès de ma faculté afin de passer ma deuxième année en psychologie en deux ans. Cela me permet de me consacrer à 100% à la piste », explique-t-elle. Un choix payant puisqu’aujourd’hui, Julie est un maillon essentiel au sein de cette vitesse par équipes tricolore.

Briller sur le 500 mètres

« En étant en deuxième position, je ne me repose jamais. En effet, je dois rester au contact de Taky Marie-Divine Kouamé et lancer Mathilde dans d’excellentes conditions. Si je fais la moindre erreur, cela peut nous faire perdre beaucoup de temps. J’ai beaucoup de responsabilité sur mes épaules », analyse-t-elle.

Ce mercredi pour leur entrée en lice dans ces Mondiaux, le trio français a réalisé une belle prestation pour seulement sa quatrième sortie sur la scène internationale. À la clé une cinquième place et beaucoup d’espoirs pour l’avenir. Désormais, Julie va se concentrer le 500 mètres départ arrêté.

Ce samedi, Julie aura à coeur de battre son record personnel mais surtout de prendre beaucoup d’expérience et de plaisir sur cette épreuve. Derrière, la pistarde de l’US Créteil sera dans les tribunes pour encourager ses copines de l’équipe de France, à l’occasion du dernier des Mondiaux sur le keirin. En tout cas une chose est sûre, Julie Michaux a pris date à deux ans des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 sur ce vélodrome de Saint-Quentin-en-Yvelines.

Les Bleues filent à toute vitesse vers Paris 2024

À deux ans des Jeux de Paris 2024, les Bleues sont en plein apprentissage sur l’épreuve de la vitesse par équipes. La qualification olympique passera par les Championnats du monde organisés du 12 au 16 octobre à Saint-Quentin-en-Yvelines. Ce mercredi, Taky Marie-Divine, Julie Michaux et Mathilde Gros pourront lancer leur Mondial de la meilleure des manières devant leur public et leurs proches.

Le temps commençait à paraître long pour les Bleues. Depuis 2019, et la retraite forcée de Sandie Clair, on n’avait plus trouvé trace d’un bon résultat pour la France sur la vitesse par équipes. Un temps durant lequel Mathilde Gros éprouvait de grandes difficultés pour performer en individuel. Depuis, les, les choses ont changé avec l’arrivée de Grégory Baugé, et les renforts de Taky Marie-Divine Kouamé et Julie Michaux. Comme par hasard, on a retrouvé une autre Mathilde sur cette vélo.

« Cela lui enlève du stress de s’investir sur la vitesse par équipes. Elle est ainsi plus disponible mentalement pour performer en individuel », souligne le nouveau coach du sprint français, Grégory Baugé. En tout cas, la sociétaire de Salon CycloSport pourra ainsi lancer son Mondial, avec ses compatriotes, ce mercredi 12 octobre sur une piste qu’elle connaît les yeux fermés. Un réel avantage pour elle et toutes les filles de l’équipe de France.

Une équipe en pleine construction

Cependant, il faudra être indulgent car cette équipe est en pleine construction. Depuis janvier dernier, les Bleues ont fait très peu de sorties sur la scène internationale. « À Saint-Quentin, on va ainsi pouvoir se jauger face aux meilleures pistardes de la plan!te. Le but est de voir ce que l’on vaut vraiment sur un Mondial. Cela va nous permettre d’avoir une référence pour les prochaines échéances internationales comme les Championnats du monde à Glasgow en 2023 », nous confie Mathilde Gros.

Car la première sortie en avril dernier en Écosse n’avait guère été convaincante. « On a vécu des débuts difficiles en Coupe des Nations. Les filles sont passées à côté de leur course. Je me posais alors des questions sur la composition de l’équipe », avoue-t-il. Il fallait juste laisser un peu de temps pour r »aliser une performance de haut vol.

Quelques semaines plus tard à Cali (Colombie), les Bleues ont inversé cette tendance en décrochant une belle médaille de bronze, avec à la clé un excellent chrono personnel pour chacune d’entre elles. Désormais, elles peuvent travailler dans la sérénité.

Faire confiance aux jeunes

Mais surtout faire connaissance avec trois jeunes femmes très talentueuses. Taky Marie-Divine Kouamé, âgée de 20 ans, aura la lourde tâche de lancer cette vitesse par équipes sur les bons rails. On a pu voir qu’à l’occasion des Championnats d’Europe à Munich en août dernier, où les Bleues avaient termine quatrièmes, ndlr, la sociétaire de l’US Créteil avait rencontré de nombreuses difficulté à l’allumage.

« On ne peut pas se référer à Munich car la piste ne faisait que 200 mètres. J’ai dû mettre des braquets dont je n’ ai pas l’habitude d’utiliser pour démarrer. On a tout de même analysé nos erreurs sur cette compétition. Mais on sait de quoi on est capables. Si on arrive à 100% le jour j, on ne sera pas loin de la vérité », résume Taky Marie-Divine Kouamé.

Derrière, c’est Julie Michaux, elle-aussi âgée de 20 ans, aura une responsabilité accrue au sein de l’équipe de France. « En étant en deuxième position, je ne me repose jamais. En effet, il faut accrocher la roue de Taky Marie-Divine Kouamé et lancer Mathilde dans d’excellentes conditions. Si je fais la moindre erreur, on peut perdre beaucoup de temps. J’ai beaucoup de responsabilité sur mes épaules », prévient-elle.

Paris 2024 en ligne de mire

Enfin, Mathilde Gros n’aura plus qu’à terminer le travail. Avec une telle équipe, les Tricolores pourront jouer les yeux dans les yeux avec les meilleures nations mondiales. « Il faudra battre tout le monde. Je ne leur mets pas la pression. Je connais leurs qualités et je sais qu’elles seront meilleures à Saint-Quentin-en-Yvelines. À mon sens, on est sur la bonne voie. S’il n’y a pas de résultats, il ne faudra pas tout remettre en cause », avoue Grégory Baugé.

Car ce rendez-vous planétaire dans les Yvelines pourrait être une étape importante à deux ans des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. « Si on se qualifie, ce sera grâce à notre vitesse par équipes. Ce qui serait une première dans l’histoire de notre sport pour notre équipe de France féminine », précise-t-il. Rendez-vous ce mercredi à Saint-Quentin-en-Yvelines pour voir si Taky Marie-Divine Kouamé, Julie Michaux et Mathilde Gros sont à l’heure sur leur tableau de marche.

Comme à la maison

Les Championnats du monde de cyclisme sur piste sont de retour à Saint-Quentin-en-Yvelines. Sept ans après, les meilleures pistardes de la planète se donnent rendez-vous au vélodrome national du 12 au 16 octobre pour décrocher ce maillot arc-en-ciel tant convoité. Parmi les 350 athlètes, représentant 40 pays, nos Françaises vont vivre un Mondial à la maison pour la première fois de leur jeune carrière car elle n’ont pas connu le dernier Mondial disputé en Ile-de-France en 2015.

Souviens-toi des derniers Championnats du monde organisés à Saint-Quentin-en-Yvelines en 2015. Sept ans après avoir vécu d’incroyables moments, qui auront vu 25 000 spectateurs garnir les tribunes du vélodrome national, les meilleures pistardes de la planète sont de nouveau attendus à Saint-Quentin-en-Yvelines. En 2015, les Tricolores avaient illuminé la piste en terminant à la première place du classement des Nations, s’adjugeant sept médailles dont deux titres mondiaux. Des souvenirs exceptionnels pour les athlètes et le public présent dans cette arène rendue bouillante.

« En 2015, je venais juste d’arriver dans le monde du cyclisme. J’ai regardé ces Mondiaux devant ma télévision et j’ai pu voir tout l’engouement du public tricolore pour soutenir leurs a athlètes à se surpasser à la maison. On a toutes hâte d’y être. Ça va être top », se remémore Mathilde Gros. Un sentiment partagé par Taky Marie-Divine Kouamé.

« Vous savez, l’approche d’un championnat du monde à la maison a toujours une saveur particulière. En 2015, lors des derniers Mondiaux à domicile, j’étais dans les tribunes avec mon père pour soutenir l’équipe de France. Je me souviens de cette atmosphère incroyable. Je l’avais vécue comme un événement de folie. Aujourd’hui, en tant qu’athlète, je le vois d’un autre œil », relativise-t-elle. La jeune pistarde de l’US Créteil, âgée de 20 ans, s’y voit déjà.

Vivre un moment incroyable à Saint-Quentin-en-Yvelines

« Imaginer un vélodrome rempli derrière nous ne pourra être que du positif pour nous aider à nous transcender sur la piste », avance-t-elle. Il ne faudra pas que cet environnement ne vienne pas brider les petites nouvelles qui découvrent un tel événement à la maison.

« Je ne vais pas vous le cacher, je vais disputer mes premiers Championnats du monde devant mon public, mes proches et la France entière. Je m’attends à vivre un moment incroyable ! Pour le moment, je n’y pense pas trop sinon le stress va monter très vite. Je vis au jour le jour », précise Julie Michaux. L’objectif sera de continuer à progresser mais surtout de partager un magnifique moment avec l e public français. Et pourquoi pas aller chercher ce maillot arc-en-ciel tant convoité.

« Ce serait un honneur et une fierté de faire résonner La Marseillaise, ici, à Saint-Quentin-en-Yvelines, devant notre public. On s’entraîne dur toute la saison pour vivre ce genre d’émotion dans notre carrière », espère tant Mathilde Gros. Un rêve qui pourrait devenir r »alité à partir de ce mercredi…

La Sélection Tricolore :

Sprint :

Mathilde Gros (Salon Cyclosport)

Taky Marie-Divine Kouamé (US Créteil

Julie Michaux (US Créteil)

Endurance :

Victoire Berteau (Cofidis)

Marion Borras (St-Michel-Auber 93)

Clara Copponi (FDJ-Suez-Futuroscope)

Valentine Fortin (Cofidis)

Jade Labastugue (Marmande Women Dévelopment)

Dilyxine Miermont rejoint St-Michel-Auber 93

À seulement 22 ans, Dilyxine Miermont va rejoindre une équipe Continental Pro pour la première fois de sa jeune carrière. La vice-championne de France espoirs s’est engagée avec St-Michel-Auber 93 pour la saison prochaine. La

St-Michel-Auber 93 tient sa nouvelle recrue. Après avoir enregistré l’arrivée de Camille Fahy en août dernier, la formation francilienne a jeté son dévolu sur Dilyxine Miermont. La sociétaire du Team Auvergne-Rhône-Alpes, licenciée au VC Ambertois, rejoint les Madeleines pour la saison prochaine.

« Je suis très heureuse de rejoindre l’équipe St-Michel-Auber 93 pour la saison prochaine. C’est une satisfaction et un aboutissement personnel. J’ai hâte de découvrir le monde professionnel, continuer à progresser et contribuer à la réussite de l’équipe. Je remercie l’équipe de me faire confiance et j’ai déjà hâte de commencer l’aventure  », s’enthousiasme Dilyxine Miermont dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux de la formation de Seine-Saint-Denis.

La Corrézienne, âgée de 22 ans, a réalisé une belle saison en terminant quatrième sur le Prix de la Ville de Morteau et cinquième sur le Tour de Charente-Maritime. Son fait d’arme restera sa belle deuxième place sur la course en ligne des Championnats de France espoirs, juste derrière Amandine Fouquenet, et sa médaille de bronze décrochée sur le contre-la-montre le lendemain.

« Dilyxine est l’une des révélations de cet été dans la catégorie espoir. Il était donc pour nous important de pouvoir compter sur elle », précise la directrice sportive de St-Michel-Auber 93, Charlotte Bravard. Rendez-vous en 2023 pour voir Dilyxine Miermont performer au plus haut niveau avec les Madeleines…

Le PSG avec Chelsea, le Real Madrid et Vllaznia

Le Paris Saint-Germain n’a pas été épargné par le tirage au sort de la phase de groupes de la Ligue des champions effectué ce lundi 3 octobre à Nyon (Suisse). Les Parisiennes affronteront les Anglaises de Chelsea, les Espagnoles du Real Madrid et les Albanaises de Vllaznia. Leur campagne européenne débutera le 20 octobre prochain pour se clôturer le 22 décembre. Les deux premières équipes de chaque poule seront qualifiées pour les quarts de finale.

Demi-finaliste de la dernière édition, le Paris Saint-Germain devait passer par un tour de barrages pour retrouver la Ligue des champions. Après avoir éliminé le BK Häcken (2-1 à l’aller, puis 2-0 au retour), le club de la capitale attendait avec impatience le tirage au sort de la phase de poules de la C1. Ce lundi 3 octobre à Nyon (Suisse), les partenaires de Kadidiatou Diani ont découvert leurs adversaires. Palcées dans le groupe A, les protégées de Gérard Prêcheur seront opposées aux Anglaises de Chelsea, aux Espagnoles du Real Madrid et aux Albanaises de Vllaznia.

Comme on se retrouve ! Les Parisiennes retrouveront sur leur chemin le Real Madrid. L’an passé, au même stade de la compétition, les joueuses de la capitale avaient dominé aisément les Madrilènes (4-0, le 9 novembre 2021 à Paris, puis 2-0 le 18 novembre dernier à Madrid, ndlr). Cette année, le score pourrait s’annoncer plus serré que prévu puisque cette formaltion ibère continue de progresser. Les Parisiennes sont alors prévenues.

Sur le papier, Chelsea et le PSG restent les deux équipes favorites de cette poule. Il faudra le vérifier sur le terrain.Et cela arrivera très vite puisque les joueuses de la capitale recevront les championnes d’Angleterre en titre, le 20 octobre à Paris. Une belle occasion pour les partenaires de Lieke Martens de lancer leur campagne européenne de la meilleure des manières.

Enfin, les partenaires de Grace Geyoro devront se méfier des Albanaises de Vllaznia. Même si le PSG sera favori de cette double-confrontation, il ne faudra pas perdre des points en route comme elles ont pu le faire face au Havre en D1 Arkema. Les Parisiennes savent ce qu’il leur reste à faire pour réaliser un magnifique parcours en Coupe d’Europe.

Le calendrier du Groupe A :

Journée 1 :

20 octobre : PSG-chelsea

Journée 2 :

26 octobre : Real Madrid-PSG

Journée 3 :

23 novembre : PSG-Vllaznia

Journée 4 :

08 décembre : Vllaznia-PSG

Journée 5 :

16 décembre : PSG-Real Madrid

Journée 6 :

22 décembre : Chelsea-PSG

Le PSG verra bien la Ligue des champions

Grâce à des buts de Lieke Martens et Kadidiatou Diani, le Paris Saint-Germain s’est imposé face au BK Häcken (2-0), ce mercredi pour le compte du match retour de barrages d’accession à la Ligue des champions. Grâce à ce succès, les Parisiennes ont composté leur billet pour la phase de groupes de la Coupe aux grandes oreilles. Le tirage au sort aura lieu ce lundi 3 octobre à Nyon (Suisse).

Obligées de passer par un tour de barrages, les filles du Paris Saint-Germain ont passé l’obstacle du BK Häcken avec brio. Victorieuses à l’aller (2-1), les Parisiennes ont pu compter sur ses deux joueuses phares du moment pour s’imposer en Suède (2-0),, lors de ce match retour de qualification pour la Coupe aux grandes oreilles. Grâce à ce succès, les protégées de Gérard Prêcheur verront bien la phase de groupes de la Ligue des champions.

Ce mercredi soir en Suède, les joueuses de la capitale ont réalisé une belle prestation. Malgré une première période un peu terne, les Parisiennes ont accéléré au retour des vestiaires. Sur un centre de Ramona Bachmann, Lieke Martens, déjà buteuse à l’aller, ouvre le score pour le PSG (1-0, 53e). Quelques minutes plus tard, c’est Kadidiatou Diani, auteure de cinq buts sur les cinq rencontres depuis le début de la saison, scelle le sort de cette rencontre en inscrivant le second but pour le club de la capitale (2-0, 60e).

« Le plus important aujourd’hui c’était d’assurer la qualification. Cela n’a pas été facile, nous sommes allées chercher le premier but en seconde période, le plus important c’est que nous nous sommes qualifiées et imposées 2-0. Je ressens de la joie ce soir, on a réussi à franchir une première étape, maintenant on va entrer dans le vif du sujet », a réagi Kadidiatou Diani au micro des médias du club parisien.

Demi-finaliste de la précédente édition, les partenaires de Grace Geyoro tenteront de viser plus haut cette année sur la scène européenne. Le tirage au sort de la phase de groupes aura lieu ce lundi 3 octobre en début d’après-midi à Nyon (Suisse).